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 Channelle Featherstone

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Channelle Featherstone
Channelle Featherstone
« Administratrice »
★ Âge : 20 ans
★ Occupation : Carrière
☆District : Un

○ Points : 838
○ Barre de vie :
Channelle Featherstone  Left_bar_bleue100 / 200100 / 200Channelle Featherstone  Right_bar_bleue


May the odds be ever in your favor
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MessageSujet: Channelle Featherstone    Channelle Featherstone  EmptyVen 10 Jan - 22:13



Channelle Featherstone

« She's lethal, with a license to kill. Honor Society »




Points Acquis

Sera rempli par le staff
à l'issue de votre présentation



Répartition des capacités
Force : 6
Coordination : 7
Intelligence : 5
Volonté : 5
Rapidité : 8
Communication : 3
Corps à corps : 6
Combat armé : 7
Chasse : 0
Soin : 1
Créativité : 3


IMPORTANT :
Je m'appelle Channelle Featherstone. Je suis âgé de 20 ans. Je suis né un 7 avril au District 1. Je suis une carrière. J' envisage de rejoindre les rebelles.

SITUATION :
Je pense que carrière est ce qui décrit le mieux ma situation … Car cela est clairement un frein à toute situation amoureuse. Mes parents refuseraient de me voir avec quelqu’un d’autre qu’un carrière. Et avouons-le, personne ne veut avoir à se battre contre son âme sœur dans l’arène, n’est-ce pas ? Après, j’ai bien des relations, mais la plupart ne sont pas basées sur les sentiments. Il y a Zane, qui est la personne avec laquelle j’entretiens ce qui ressemble le plus à une « relation », mais ni lui, ni moi ne tenons à officialiser la chose.

AVIS SUR PANEM :
Panem, c’est une énorme fourmilière … Après tout, nous ne sommes tous que de la chair à canon. J’avoue avoir un avis assez péjoratif sur les autres districts. Les districts 1, 2 et 4  sont-ils les seuls à avoir de la jugeote ? Les autres ne semblent pas encore avoir compris qu’il faut entraîner leurs enfants s’ils veulent les voir survivre dans les jeux. Je ne pourrais pas personnellement envoyer mes enfants en première ligne sans aucune préparation … Je n’ai ainsi que peu de considération pour ces districts.







Caractère du personnage -  10 lignes minimum
Je ne suis peut-être pas la personne la mieux placée pour parler de mon caractère, mais je vais tenter d’être objective. Je pense que ce qui ressort le plus, devant les autres, c’est la force, le self contrôle, et peut-être également une forme de froideur. Je ne montre pas mes faiblesses, surement parce qu’au fond, j’essaye de me persuader que je n’en ai aucune. C’est ainsi que j’ai été élevée, je suis une Featherstone. J’obtiens toujours ce que je veux, car je sais me montrer charmeuse voire même manipulatrice afin d’arriver à mes fins. J’ai un esprit très rebelle, mais pas particulièrement contre le Capitole. Il est dirigé contre à peu près tout ce qui me prive de mes libertés, le gouvernement, mes parents, les convenances … Mon mode de défense favori est la moquerie ce qui fait que j’apparais souvent comme une personne un peu hautaine. Je ne pense pas avoir de trait de caractère que je puisse réellement considérer comme une faiblesse, mais je dois avouer que j’ai mes défauts.  Le principal est certainement que je suis prétentieuse, mais je suis également une grande tête brûlée, en plus d’être une tête de mule. J’ai un fort caractère, et je suis assez capricieuse au grand dam de mes parents. Ai-je mentionné le fait que je suis une très mauvaise perdante ?







Histoire du personnage -  
Je m’appelle Channelle Featherstone, et je suis de la chair à canon. Mes parents nous ont fait, mon frère, ma sœur et moi, afin d’apporter l’honneur à la famille Featherstone en présentant trois gagnants des Hunger Games et, pour être parfaitement honnête, cela ne m’a jamais vraiment posé de problème, aussi loin que je puisse me rappeler. Nous avons eu la chance de grandir dans le luxe du District 1, luxe qui n’est pas accordé à tous je le crains. Ma famille était de plus la plus riche du district, richesse due en grande partie au fait que mes parents étaient des partisans du Capitole. S’ils avaient connaissance d’une rébellion, ou simplement d’une famille dans l’illégalité, ils se faisaient un devoir de le rapporter. Leur statut ayant pour eux plus d’importance que leur amis, que leur famille, ils pourchassaient quiconque aurait l’audace de menacer le pouvoir du Capitole, et avec lui leurs privilèges. Je ne suis donc pas née dans une famille d’amour, mais dans un coffre-fort doré.

Par chance, si l’amour de mes parents était parfois manquant, j’eu la chance d’être la cadette d’une fratrie de trois enfants, et mes aînés m’ont toujours soignés plus que raison. Mon frère me couvait devant les autres, me mettant en avant, mais lorsque nous étions seuls, il n’hésitait pas à m’éduquer à la dure, et me forçait à me battre pour obtenir ses faveurs. Il avait dès le plus jeune âge l’ambition que je gagnerais les jeux un jour, comme cela était prévue pour lui et ma sœur. Pourtant lorsque ma sœur fut tirée aux jeux, chose qu’elle désirait plus que tout, il s’est arrangé avec une amie du district pour qu’elle prenne sa place, et se porta volontaire pour l’accompagner. Il ne la jugeait pas suffisamment préparée, et il était en âge de se battre et de gagner. Je n’avais que trois ans, alors je n’ai que peu de souvenir de sa victoire. J’ai un sentiment général de grand bonheur dans ma famille, et de fierté. Pour ma sœur, c’était une autre histoire. Elle n’avait pas supporté de se faire prendre sa place, par orgueil. Pour cette raison, elle se porta volontaire huit ans plus tard. J’avais alors 11 ans.

J’étais déjà bien plus âgée, et je comprenais mieux le fonctionnement des jeux, leur barbarie que lorsque mon frère avait été envoyé dans leur arène. J’étais alors très fière de ma sœur, pour son sacrifice et son courage. Mon frère ne partageait pas mon enthousiasme : il aurait voulu qu’elle attende encore un peu, pour être sûr que si j’étais tirée trop jeune, j’aurais une porte de sortie, quelqu’un qui se porterait volontaire afin de me laisser encore quelques années de répit. Je me souviens que mes parents étaient alors un peu effrayé par mon comportement. J’étais emprisonnée complètement dans mon idéal des jeux. J’étais fière de ma sœur, je l’enviais. Je n’arrêtais pas répéter quel honneur c’était, de pouvoir représenter son district, de mettre sa famille en avant, qu’importe s’il fallait tuer quelques tributs. Ils n’étaient que de la chair à canon après tout. Je me souviens parfaitement d’un soir, où nous regardions les jeux. Ma sœur était aux prises avec un autre tribut, en mauvais point. Elle avait toutes les chances de perdre et je fixais l’écran, passionnée. Vu mon jeune âge, mes parents m’avaient ordonné de sortir, persuadés que leur fille allait mourir. Et bien entendu, j’avais continué à regarder l’écran, sans frémir, alors qu’elle se prenait des coups. Mon père m’avait alors dit, les larmes aux yeux :

« Tu sais, elle n’en a peut-être plus pour très longtemps, tu devrais détourner les yeux … »
Sans tressaillir, je lui avais répondu, sur un ton monocorde, sans pitié, sans rage … Sans amour :
« Ne t’en fais pas papa, je ne vais pas pleurer. Si elle meurt, si elle échoue, alors elle ne méritait pas d’être une Featherstone. Elle ne méritait pas d’être ma sœur. Elle ne mériterait pas qu’on la pleure. Elle ne voudrait pas qu’on le fasse. »

Je me souviens avec une parfaite clarté de son expression à ce moment précis, comme s’il venait de se rendre compte qu’il avait engendré un monstre. Mon frère avait souri, il m’avait pris par l’épaule et m’avait dit que je venais de parler comme une future gagnante. Bien entendu, ma sœur a tué son adversaire. Et comme de bien entendu, elle a gagné les jeux. Après tout, c’était une Featherstone, comment aurait-il pu en être autrement ?

Avant même que ma sœur ne soit rentrée, mon frère avait commencé à m’entrainer. J’avais eu le privilège d’être entrée dans l’école d’entrainement des carrières, et j’y passais le plus clair de mon temps. Je devins rapidement l’une des meilleures, mettant à terre des garçons de trois ans mes aînés. Il faut dire que j’avais un coup de pouce : dès que je rentrais du centre, mon frère continuait l’entrainement à la maison. Mes parents disaient qu’il m’en demandait trop, mais je répliquais à chaque fois qu’au contraire, il me laissait trop de répit. Sélène était de leur côté, ce que je n’arrivais pas à comprendre. Les jeux l’avaient changée et je ne la reconnaissais plus. Elle n’arrêtait pas de répéter comment les jeux changent une personne, et à quel point elle voulait m’épargner cela. En comparaison, mon frère prétendait déjà lorsque j’avais 13 ans que je pourrais gagner les jeux haut-la-main. Et plus il était fier de moi, plus je cherchais à le rendre fier.

J’étais un parfait petit soldat du District 1, une fille modèle, obéissante. Mais ma mère fit une terrible erreur. Un soir, alors que je m’entrainais à la maison, elle se mit à côté de moi et me supplia d’arrêter. Touchée par ses supplications, je me mis assise à côté d’elle, et elle me prit la main, pour m’entraîner dans le grenier. Elle disait vouloir que je pense par moi-même, que je devienne autre chose que juste une carrière. Je n’arrivais pas vraiment à la suivre mais j’obtempérais : mes muscles me faisaient mal à force de cogner dans ce sac de sable. Elle m’emmena alors prêt d’une étagère poussiéreuse, et me présenta leur ancienne bibliothèque. Elle contenait de vieux livres qui n’avaient pas été ouverts depuis des lustres. Ma mère me regarda alors dans les yeux, et me demanda de lui rendre un service.

« Lis-en un. Un seul, s’il te plait. »

Je restai interdite. Je ne voyais pas l’intérêt de lire, j’avais plus important à faire. Mais elle semblait penser que cela pourrait me permettre de m’ouvrir sur autre chose. J’acceptai alors sa proposition, et je choisi un ouvrage. Il parlait d’avant, du monde avant Panem. Ce fut une sorte de révélation pour moi. Lire la vie de gens qui ne passaient pas leur temps à travailler, qui n’avaient pas une épée de Damoclès au-dessus de leurs têtes … Des gens qui avaient le temps de lire, d’écrire, de chanter, de danser … Ne vous méprenez pas, je n’ai pas un esprit rebelle, et la manière dont j’ai été élevée m’empêche complètement de penser de cette manière. Mais le soir, j’allais dans le grenier et je prenais un livre, et je me sortais la tête de Panem, de mon rôle de carrière. A partir de ce moment, plus que jamais, j’attendais la moisson avec impatience. Mes raisons étaient simplement différentes. Je m’étais lassée de cette vie qui était toujours la même, et j’étais pressée d’avoir de nouvelles ambitions. Je savais que le titre de mentor que j’allais prendre à ma sœur me plairait davantage que reprendre l’entreprise de mes parents. J’aspirais à une vie telle que je la lisais dans ces livres, une vie que seule la victoire pourrait m’apporter.  Je n’avais à ce moment-là aucune haine pour le Capitole, seulement des rêves naissants, des désirs de liberté.

Mais cela ne tarda pas à changer. Quelques mois plus tard, alors que je rentrais d’un entraînement et que mes parents étaient sortis manger avec des amis, je trouvai ma sœur dans les escaliers, baignant dans son propre sang. Je ne pouvais pas imaginer ce que j’avais sous les yeux, et loin d’être bête et innocente, je n’arrivais néanmoins pas à comprendre ce qui se passait. Comment l’aurais-je pu ? Je n’avais pas idée que ma sœur était tombée enceinte pendant les jeux. Bien sûr, le Capitole avait su mettre en valeur ses ébats dans les jeux avec son allié, mais l’idée même qu’elle puisse porter un enfant ne m’avais jamais traversé l’esprit.  Les médecins des jeux ne l’avaient-ils pas examinée à sa sortie ? Où leur avait-on ordonné d’être aveugle sur ce point ? Je doute de trouver un jour la réponse en cette question, même si en un sens, je l’avais déjà. J’accouru auprès d’elle.

« Sélène ! »

Je ne crois pas avoir déjà eu aussi peur, même lorsqu’elle était dans les jeux. J’attrapai sa main avant de me relever pour aller appeler quelqu’un, mais elle me retint par le bras.

« Channelle, non. »

Evidemment. Cela ne pouvait pas, ne devais pas se savoir. A voir comme elle s’était évertuée à le cacher, je me demandai si les parents savaient, voire même si elle était au courant avant de le perdre. Je la supportai jusque sa chambre avant de l’allonger sur son lit. Après lui avoir longuement tamponné le front avec un linge humide, je jetai un œil à l’heure et lui fit une grimace.

« Les parents vont rentrer, je dois aller nettoyer le sol. »

J’ignorais si elle désirait en parler ou si elle préférait que toute cette histoire ne sorte jamais. Mais à son regard je compris qu’elle n’avait pas l’intention d’en parler, à qui que ce soit. A mon retour, elle avait perdu connaissance … Je fus forcée de l’amener à l’hopital, en toute discrétion. Quelques jours plus tard, elle m’attrapa la main au détour d’un couloir et me fis jurer de ne jamais en souffler mot à âme qui vive. Et comme nous nous étions toujours soutenues l’une l’autre, je jurai.

C’est ce jour que naquit mon esprit rebelle. Je sortais davantage, trainant beaucoup avec les carrières. Et quand je dis trainer, je pense que tout le monde me comprend. Je n’avais pas vraiment la réputation d’être farouche, et je profitais du temps libre que j’avais. Un soir, nous sommes sortis avec des amis pour boire un verre. J’étais sonnée, comme à mon habitude. Je regardais autour de moi, riais de leurs plaisanteries … Quand mon regard s’arrêta sur un homme en face de notre table qui me fixait. J’inclinai la tête avant de sourire. Bien sûr Paolo, mon meilleur ami, s’en est rapidement aperçu. Lui et ses amis se sont levés pour se diriger vers la table de l’inconnu, menaçants. Ils voulaient le corriger : de quel droit me fixait-il ainsi ?  Lorsqu’ils le lui firent remarquer, il ne les regarda même pas ; il continua à me fixer, moi.

« Amusant qu’une carrière ait besoin de chiens de garde. »

Mon sourire s’élargit alors que j’intimais l’ordre à mes amis de laisser couler, que cela n’en valait pas la peine. Au fond j’étais intriguée. Il était soit courageux, soit idiot, car Paolo et ses amis l’auraient démoli en rien de temps.

Plus tard, alors que mes amis avaient décidé de partir, je restai un peu à l’extérieur du bâtiment, contre le mur. Comme s’il savait que j’étais là, il sortit peu de temps après. Sans aucune hésitation, il m’embrassa. Je ne savais rien de lui, pas même son nom. Mais il s’avéra qu’il savait tout de moi. Comment aurais-je pu me douter qu’il était un résistant en quête d’informations ? Je n’en avais pas les moyens. Lorsqu’il voulut me revoir, je refusai d’abord, avant d’acceptée, poussée par ma curiosité. Au début ce n’était que cela. Nous passions juste des nuits ensembles. J’étais forcée de faire le mur, tout d’abord parce que je passais le plus clair de mon temps au centre d’entraînement des carrières, puis parce que mes parents n’auraient jamais toléré que je fréquente un garçon sans nom. Lorsqu’on parle parfois, je sens qu’il se cache derrière des phrases toutes faites. Son admiration pour le Capitole me surprend énormément ; après tout, tout en lui semble être contre le système, et je sens qu’il déteste l’idée même de l’école des carrières, je l’ai senti dès la première fois que je l’ai vu. Mais je ne pose aucune question ; cela ne fait pas partie de notre relation.

Zane est donc surement simplement une excuse supplémentaire pour me détourner de la voie qu’on m’a tracée, une autre manière de me rebeller, à ma manière. A quel point m’en voudrais-je si je savais que pour lui, je ne suis qu’une mission, destinée à détruire ma famille ? Mais dans peu de temps, tout cela n’aura plus d’importance. La moisson approche et quoiqu’il en soit, si certains sont terrorisés en ce moment, ce n’est pas mon cas : je ne vis pas dans le doute, ou  la peur. Je vis dans la certitude que mon ennui va s’arrêter, car je sais que je serais bientôt le tribut volontaire du District 1, la future mentor du District 1.








Ambition du personnage -
Je n’ai pour l’instant qu’une seule ambition : gagner les Hunger Games. Bien sûr ce désir sert une ambition plus profonde … Celle de pouvoir faire ce que je veux de ma vie. Je n’ai aucune envie de reprendre l’entreprise de mes parents, leur richesse : au contraire, je veux les quitter. Je veux tracer ma propre route, pouvoir choisir ce que je veux faire, avec leur bénédiction. Etre mentor est, naturellement, un de mes plus cher désir. Je sais que je pourrais me satisfaire de ce travail, même si pour y accéder je devrais prendre ce poste à ma sœur. Mon objectif serait malgré tout de m’en débarrasser le plus rapidement possible, car j’aimerais voyager dans le Capitole car jusqu’à maintenant, je n’ai fait que penser à un nom : Featherstone. Je ne sais pas encore ce que je veux faire de ma vie, mais je veux servir le Capitole. Pourquoi pas en devenant soldat  ...




Voudrais-tu que ton personnage participe aux Hunger Games ?
[X] Oui
[] Non

Âge : 20 ans
Pseudo : Mary
Avatar : Nina Dobrev
Age de l'avatar : 22 ans
Age du personnage : 19 ans
Fréquence de connexion : Tous les jours
Comment as-tu trouvé le forum : Je l'ai fait mouahaha xD
Un petit commentaire sur le fo ? : Il est parfait  Heart



Dernière édition par Channelle Featherstone le Jeu 8 Fév - 19:14, édité 8 fois
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Sélène J. Featherstone
Sélène J. Featherstone
« Administratrice »
★ Âge : 29 ans
★ Occupation : Mentor
★ Plat préféré : Foie gras
☆District : Un

○ Points : 937
○ Barre de vie :
Channelle Featherstone  Left_bar_bleue200 / 200200 / 200Channelle Featherstone  Right_bar_bleue


May the odds be ever in your favor
Compétences:
Talents:
Inventaire:


Channelle Featherstone  Vide
MessageSujet: Re: Channelle Featherstone    Channelle Featherstone  EmptySam 11 Jan - 14:39



   

   

   

   

Channelle Featherstone  D111

   
Bienvenue à Panem !


Ta présentation est désormais validée .



Selon l'histoire de ton personnage et le barème établi, tu obtiens les Points de compétences suivants :
Force : 6 (5+1 points rp)
Coordination : 7 (6+1 points rp)
Intelligence : 5 (4+1 point grâce aux points)
Volonté : 5
Rapidité : 8 (7+1 point grâce aux points)
Communication : 3
Corps à corps : 6 (5+1 point grâce aux points)
Combat armé : 7 (6+1 point grâce aux points)
Chasse : 0
Soin : 1
Créativité : 3


Tu peux dès à présent commencer à t'amuser dans le jeu.
   Cependant, avant toutes choses il te reste encore quelques missions à accomplir !

   - Dans un premier temps pense à réserver la célébrité qui te sert d'avatar dans le Bottin des avatars afin que cette dernière te soit réservée.
   - Ensuite pense à nous signaler le nombre de Tessaerae que ton personnage possède en faisant un tour dans le Recensement des Tessaerae
   - Pour finir, il est très important que tu crées ton Livre de Bord car cela te permettra de créer des liens avec d'autres membres du forum afin de pouvoir commencer le RP. De plus il permettra de récapituler d'un simple coup d’œil tes RPs, donc pense à le mettre à jour !

   Bonne chance  et surtout Bons Jeux !

   Puisse le sort t'être favorable !

   Le staff
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Channelle Featherstone

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