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 Love R. OWEN

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Love Owen
Love Owen
« »
★ Âge : 17 ans.
☆ Surnom : Je préfère mon prénom
★ Occupation : Arboricultrice
☆ Humeur : Indomptable
★ Plat préféré : Les pêches
☆District : District Onze

○ Points : 30
○ Barre de vie :
Love R. OWEN Left_bar_bleue200 / 200200 / 200Love R. OWEN Right_bar_bleue


May the odds be ever in your favor
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Love R. OWEN Vide
MessageSujet: Love R. OWEN   Love R. OWEN EmptyMar 1 Mai - 11:02



Love Rebecca OWEN

« On dit que l'espoir donne des ailes. Je confirme : la chute fait mal. »








Points Acquis

Sera rempli par le staff 
à l'issue de votre présentation



Répartition des capacités
Force: 3
Vigueur: 4
Coord : 4 (CG/CF)
Rapidité: 4
Intelligence: 5 (IP/IA/IC)
Perception: 4
Volonté: 5
Communication : 4
Corps à corps: 3
Combat armé: 2
Soin: 3
T.pro : Agriculteur


IMPORTANT :
Je m'appelle Love OWEN. Je suis âgée de 17 ans. Je suis né un 11 novembre au District 11. Je suis arboricultrice depuis que j'ai quitté l'école il y a trois ans. J'envisage (très) sérieusement de rejoindre les rebelles, s'il veulent de moi.

SITUATION :
Je vis dans une cabane du district 11. On est six, ma mère, mes trois frère, ma sœur et moi. Elle est plutôt petite, sans étage, alors on se partage une pièce entre nous avec des draps en guise de chambre. L'autre pièce sert de cuisine et de salle à manger. Mais je passe le clair de mon temps à l'extérieur. Je travaille dans un verger, comme tout le reste de ma famille et la majorité de mes voisins. En général, on ne mange pas suffisamment, mais pour ma part, je n'ai jamais vraiment faim.

AVIS SUR PANEM :
Je ne l'ai peut-être pas assez répété par la suite (car je fais pleinement confiance en la confidentialité de cette fiche) mais je déteste ce Panem. L'organisation en districts ne me pose pas de problème, mais les autorités ont beaucoup trop de pouvoir, en usent et en abusent. Ils tuent sous un soupçon, alors même que leur victime tendait la main à ceux qui en avait besoin. Je ne leur en pardonnerai jamais. Même le Capitole, hors de notre milieu, ne me gêne pas : ma vie ne serait pas si mal sans les hommes en armure blanche. Et améliorer les transports entre les districts afin d'offrir la liberté aux gens de choisir ce qu'ils veulent. Et supprimer les Hunger Games aussi, bien évidemment. Mais dans notre Panem, c'est impossible. Alors à nous de rendre cela possible.







Caractère du personnage -  10 lignes complètes minimum
Avant mon « éveil », je vivais dans un rêve. J'étais chaleureuse, optimiste, généreuse... Un tas de qualités qui peuvent s'avérer des défauts à trop fortes doses. Et j'avais vraiment dépassé la limite. Émotive, fragile. Maintenant... C'est plus compliqué. Déjà, je fais de mon mieux pour ressembler à celle que j'étais. Preuve de fierté, je suppose. Mais intérieurement, je suis vraiment différente.

Plus méfiante, plus froide. Si on supprime ma haine, on doit avoir fait le tour. Méfiante avec les gens comme avec le hasard, d'ailleurs, ou le futur. Je refuse de retourner dans un rêve, mais ambitieuse, je cherche à le rendre réalité. Attention, quand j'entre là dedans, il est très difficile de m'en sortir. Je suis d'une détermination rare (pour la version gentille) voire carrément entêtée (pour la version un peu moins délicate). Il ne faudrait pas oublier mon irascibilité, mon impulsivité et mon impatience pour me cerner. J'espère pouvoir ajouter à mon compte la ruse, je n'aime pas me lancer dans quelque chose simplement avec mon improvisation, je préfère quand tout se passe sur prévu... du moins jusqu'à ce que l'élaboration du plan m’ennuie. J'ai aussi un certain détachement qui me fait parfois peur. Mais je garde toujours la volonté d'aider les gens. Et un désir de liberté. Comme quoi j'ai encore quelques points communs avec l'ancienne Love...







Histoire du personnage -  30 lignes complètes minimum
Lorsque j'étais petite, j'étais heureuse. Même si le district 11 n'offre pas les meilleurs conditions de vie, je ne m'en rendais pas compte. On vivait tous ensemble, une famille unie qui respirait la joie de vivre.

Tout d'abord, il y avait mon père, un homme fier, un entêté qui ne quitte pas ses principes, prêt à tout pour protéger ceux qu'il aime ou qui en ont besoin. Depuis toujours, il a choyé les arbres comme s'ils étaient humains, ça me faisait beaucoup rire. Il nous racontait que, lorsqu'on meurt, notre âme se retrouvait dans un végétal à notre image.

J'avais vraiment envie d'y croire au décès de grand-père. Je l'ai longtemps cherché, son nouveau corps. J'étais presque certaine qu'il était un orme, peut-être parce que je retrouvait l'odeur de ses tisanes contre les rhumatismes. Il m'arrivait d'aller le voir en hiver et lui mettre l'une de mes vestes, au risque d'avoir froid moi-même. Il m'en a fallut du temps, pour me fier à la raison.

Il y a aussi ma mère. Physiquement, je lui ressemble dit-on. Elle était gentille, douce et intentionnée. Elle aimait les gens et les gens l'aimaient. Mais elle pouvait aussi être intransigeante, pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, sauf si le risque est trop important. J'aurais aimé passer plus de temps avec elle, mais on était trop de bouches à nourrir. Elle travaillait tellement...

Dans mon district, je ne connais pas une seule petite famille. Chez nous, on était cinq enfants. L'aîné, Arthur, a quatre ans ans de plus que moi. Tête en l'air, il oublie si facilement les choses que son rôle était compromis. Mais au final, il est devenu un peu plus sérieux. Il voulait étudier davantage les sciences pour augmenter les rendements. Mais il a du y renoncer. Il a donc endossé les responsabilités du grand-frère, travaillant toujours tard le soir dans les champs ou ailleurs, si l'argent nous manque, ou prend des tesserae. Même s'il est majeur désormais, il n'a pas quitté le foyer et nous surveille toujours pour être sûr que nous ne manquions de rien.

Brenda, ma grande sœur. Trois ans de plus que moi, ma complice. Les amis, c'est bien, mais on a pas la garantie qu'ils restent dans notre camp. Mais quand on est sœurs, c'est pour la vie. On partageait une confiance absolue en l'autre. Finalement, elle jouait le rôle de ma meilleure amie et ma plus grande alliée. Elle me défendait face à Arthur lorsqu'il était injuste, ou face aux parents lorsqu'ils m'accusaient à tord, et je faisais de mon mieux pour lui rendre la pareille. C'était peut-être pas très gentils de notre part, de nous liguer contre notre aîné, mais il se battait aussi pour qu'on reconnaisse son indépendance. Je m'en veut un peu de l'avoir laissé seul tout ce temps.

Et enfin les jumeaux, James et Rob, mes deux petits frères, deux ans de moins que moi. Des terreurs, dit-on souvent. Leur complicité est incroyable. Plus forte qu'entre Brenda et moi. Pendant des années, ils se faisaient passés pour des anges auprès des grands, mais ils aimaient bien rire à nos dépends. On a réussi à les piéger une fois, ça a sonné la fin de leur règne lorsque nos parents l'ont compris. Du moins en partie. On aurait du accueillir une autre petite fille parmi nous, mais notre mère a fait fausse couche...

La vie était si simple à l'époque. École ou travail, chacun vaquait à ses occupations. Mon père mangeait peu, nous laissant suffisamment pour ne pas trop souffrir de la faim, puis ma mère fit de même. J'avais un appétit de moineau, je ne me rendais pas compte de la dureté de la réalité. Je vivais dans un rêve, et je me déteste pour ça.

Le déclic... fut pour le moins violent. Mon père a été généreux, il n'aurait pas du. Il faisait nuit, Arthur et ma mère travaillait malgré l'heure tardive : même s'ils s'occupait généralement des arbres, les moissons avaient besoin de plus de mains d’œuvre. Moi, l'orage m'empêchait de dormir. J'avais 10 ans et à l'époque la foudre me terrifiait. Mais j'étais restée dans notre chambre, à Brenda et moi, cinq mètres carrés à peu près, délimités par un drap. J'hésitais à la réveiller pour qu'elle me rassure. Je crois bien que mon caractère était déjà bien fixe à l'époque, même si je n'en avais pas l'air, seule ma fierté m'a retenue. Puis j'ai entendu un bruit de porte. Des chuchotements. Ce n'était pas la première fois que mon père faisait entrer des gens à la maison pour une nuit, pour aider des sans-abris lorsque le temps était trop difficilement supportable. Mais cette fois était différente. Les voix étaient réservée. Et mon père n'a pas insisté et les a laissé dormir dans le salon. Le tonnerre s'était calmé pendant que j'écoutais. J'ai fini par trouver le sommeil...

Je n'ai aucune idée de l'heure qu'il était lorsque les pacificateurs ont débarqué dans la maison. Leur discrétion était impressionnante : la nuit fut déchirée par le fracas d'une porte qu'on ouvre avec force et ils ont pratiquement crié pour avoir un responsable. Mon père est arrivé en courant, même s'il venait visiblement d'être tiré de ses rares heures de sommeil. Il a été embarqué en même temps que les personnes qu'il avait fait entré. Peu après, on informait ma mère qu'il allait être exécuté pour « Menace envers Panem, dissimulation de fugitif, soupçon de complicité avec les rebelles. » Ma mère ne nous l'a pas dit à tous. Arthur et Brenda, seulement, étaient considéré comme suffisamment grands pour connaître la vérité si tôt. Tous trois sont partis à l'exécution pour soutenir mon père dans ses derniers instants. Mais ma sœur me l'a dévoilé (je l'avais peut-être fait chanté pour le savoir, mais je ne dirais rien sur cela). Je les ai suivi de loin, ne laissant à la maison que Rob et James.

Les balles furent tirées les unes après les autres. Les premières tuèrent les fugitifs en questions. Je ne saurai jamais pourquoi ils étaient considérés comme hors-la-loi, toute mon attention était portée sur mon père. J'espérais que mon regard suffirait à lui donner ma force vitale pour qu'il survive. Ou au moins, qu'il sache que j'étais là, même si lui ne me voyait pas. Puis, d'un coup, son regard s’éteint et je revois sa mort plusieurs fois avant de l’assimiler. Je ne le reverrai pas. J'ai éclaté en pleurs presque immédiatement. C'est là que ma mère m'a vu. Sur ces lèvres, je crois bien avoir lu un « je suis désolée » entre deux sanglots.

Je suis restée sans parler plusieurs jours. Il fallait me forcer à manger et à boire. Je n'avais pas conscience du temps qui passait. Je n'ai pas quitté ma chaise tout ce temps. Mais les gens me comprenaient et, heureusement, ne m'ont pas forcée à retourner en cours. Puis, d'un coup, j'ai tournée ma tête vers Brenda, assise dans un coin de la pièce en silence, et je lui ai demandé :

- Dis, tu penses qu'il est quoi, Papa ?
- Il est mort, Love... Je...
- Un aubépine ? Pour son côté protecteur ?
- Non... Il n'est plus...

Une telle transformation dans mon esprit, ça aurait du s'accompagner de signe physique. Mes pupilles qui se dilatent ou rétrécissent, par exemple. Mais je n'ai pas bouger. Absolument pas. Dans ma tête, la réalité prenait place. Sur ce, j'ai recommencé à pleurer.

Les années suivantes, je me suis reconstruite. Je faisais de mon mieux pour sembler la même, je ne voulais pas avoir l'air si impactée. Je devais rester Love, la gentille, la rêveuse, l'optimiste. Alors, en apparence, je l'étais. Mais au fond, je n'aurais pas pu être plus différente.

A treize ans, je quitte l'école. Je vais travailler dans les vergers en l'espoir d'aider à nourrir le foyer. En soi, ça me plaisait bien. J'étais dans mon élément.  Je passais la plupart de mon temps dans les branches, à l'éclaircissage et l'arcure afin d'augmenter les rendements. C'était tout ce qu'ils voulaient. Ça me rendait malade d’obéir comme ça, mais je n'avais pas le choix.

Combien de fois ai-je répété l'accusation ? Combien de fois me suis-je demandé s'il avait vraiment un lien avec la résistance ? J'ai toujours pensé qu'il faisait ça pour les gens, mais... Est-ce vrai ? En tout cas, il était hors de question que je me laisse mener par le bout du nez par les autorités. J'éprouvais une profonde haine envers les meurtriers de mon père. Je devais toujours être obéissante, ne pas exprimer la moindre résistance. Plus le temps passait, plus terrible était mon désir de vengeance.

Je voulais faire quelque chose pour prouver que je n'étais pas la marionnette de Panem, mais je ne pouvais pas. Évaluer les risques, l'impact. Préparer. Puis passer à l'action. J'ai cherché à chasser cette volonté mais elle revenait sans cesse à la charge. Et j'avais de plus en plus de difficulté à l'écarter. Je ne m'en ouvrais pas, pour ne pas impliquer mes proches et éviter d'autres accusation de complicité. Désolée, Brenda, mais c'est pour ton bien. Personne ne devait savoir. Jusqu'à ce que je passe à l'acte. Et encore.

J'ai commencé l'année dernière. J'ai réussi à emporter un sécateur du verger. Mon plan était simple : il constituait seulement à crever les pneus des véhicules qu'ils utilisaient. Deux pour chaque, si possible, pour éviter qu'ils se contente de leur roue de secours. Réduire leur liberté de mouvement, ce n'était rien pour tout un peuple contrôlé. J'étais tellement stressée d'être prise sur le fait que je suis partie immédiatement après le premier camion immobilisé. Le sécateur reprit bien vite sa place. Puis j'ai attendu.

Ils ne m'ont pas retrouvée. J'étais soulagée, mais j'ai attendu plusieurs mois avant de recommencer. J'ai longtemps réfléchi. J'attirerais l'attention en refaisant la même chose. D'un autre côté, ça aurait aussi plus d'impact... J'aurais pu voler leur équipement, incendier leurs locaux ou recruter d'autres rebelles potentiels. Mais j'avais peur. Je ne l'aurais jamais avoué, bien sûr, mais l'étais terrorisée, preuve que leur menace constante fonctionnait. Je voulais leur prendre ce qu'ils m'ont prit : mon innocence, mon bonheur. Et surtout, je voulais que plus aucun enfant n'aurait à voir ça. Mais je n'avais aucune idée de ce que j'étais censée faire pour ça. A mon échelle.

Finalement, j'ai du choisir. Je suis allée plus loin dans le district. Mon sécateur caché dans une botte, seul le fait de ne jamais m'avoir vu me rendait suspecte pour les passants. Mais je n'étais pas vraiment quelqu'un dont on se méfiait, du moins je pense. Avec mon visage rayonnant et quelques services rendus, j'avançais de jour, me fondant dans la foule. Mes compatriotes remplissaient un camion avec leurs récoltes. Ils étaient surveillés, bien plus que l'avant ou le dessous de ma cible. Je me faufile sans bruit sous le camion, guettant avec attention des pas s'approchant de la cabine. Mais dans l'immédiat, je m'attaquais une fois encore aux pneus.

Ridicule, je sais... Il était clair que seule, je ne représentais rien pour les autorités. J'avais besoin d'aide. Néanmoins... Je ne restais pas sans rien faire et, ne serait-ce que pour un instant, je les embêtais. Rien que ça, rien qu'ils sachent que tout le monde ne se laisse pas faire, ça m'emplissait de bonheur pour de longues semaines.

Un jour, j'aurais le rôle de les faire plier. Mais pour l'instant, je ne savais pas sur qui je pouvais compter dans mes plans.







Ambition du personnage - 10 lignes complètes minimum
Je veux ma vengeance. L'exécution de mon père est encore toute proche dans ma mémoire. Je veux les faire souffrir. Pas forcément physiquement. Je veux qu'ils connaissent la peur, jusqu'au Capitole. Je veux qu'ils comprennent qu'à cause de leurs actes, ils perdront la partie. Je veux me nourrir de ce sentiment. Je n'en aurais jamais assez, me semble-t-il.

Et je veux protéger mon peuple, et les autres. Ceux qui n'ont jamais rien fait pour mériter ces sentences. Je veux pouvoir être fière de les sortir des griffes de ce Panem.

Agir. Contre les coupables. Pour les innocents.

Cette petite graine sanglante a germé et a envahi une grande partie de mon être. Je suis elle et elle est moi. Mais au fond, je préfère construire quelque chose que détruire. J'aimerais pouvoir prendre soin d'un verger pour mon seul plaisir, sans risquer quoi que ce soit si les rendements sont plus faibles, par exemple en raison des aléas climatiques. Et je voudrais calmer cette folie et vivre une vie normale. Trouver l'Amour, qui sait, et avoir des enfants à mon tour. Mais pas dans un monde où chaque année, j'aurais peur de les voir partir, pour tuer ou mourir...








Voudrais-tu que ton personnage participe aux Hunger Games ?
[V] Oui
[] Non

Âge : 17 ans
Pseudo : Nantosuelte (Moi, c'est pas la fille du feu, mais sa déesse, on joue pas au même niveau ma petite Katniss)
Avatar : Yara Shahidi
Age de l'avatar : 18 ans il me semble
Age du personnage : 17 ans
Fréquence de connexion : I don't now
Comment as-tu trouvé le forum : Hum... Je sais plus trop si c'est par recherche ou partenariat au tout début, mais... Disons que j'ai toujours échoué à rester active avec mes personnages ici mais qu'un fois encore, j'espère y parvenir...
Double compte ? : Anciennement Bella, Luckim et Lily
Un petit commentaire sur le fo ? : Je dirais... Magnétique. Sinon je ne reviendrais pas encore et encore...



Dernière édition par Love Owen le Jeu 3 Mai - 18:53, édité 3 fois
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Purple Dawning
Purple Dawning
« »
★ Âge : 18 ans
☆ Surnom : Puppy
★ Occupation : Photographie
☆District : Trois

○ Points : 2
○ Barre de vie :
Love R. OWEN Left_bar_bleue200 / 200200 / 200Love R. OWEN Right_bar_bleue



Love R. OWEN Vide
MessageSujet: Re: Love R. OWEN   Love R. OWEN EmptyJeu 3 Mai - 13:04

Coucou et rebienvenue si je comprends bien !

Ca sera peut être difficile de se croiser en RP vu ton district mais sait on jamais !
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Clyde J. Holden
Clyde J. Holden
« Modérateur »
★ Âge : 24 ans.
★ Occupation : Journaliste
☆ Humeur : Déterminé
☆District : Capitole

○ Points : 1139
○ Barre de vie :
Love R. OWEN Left_bar_bleue200 / 200200 / 200Love R. OWEN Right_bar_bleue


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Love R. OWEN Vide
MessageSujet: Re: Love R. OWEN   Love R. OWEN EmptyJeu 3 Mai - 18:04











Love R. OWEN 344899D11

Bienvenue à Panem !


Ta présentation est désormais validée.


Commentaires :
Contente de te voir de nouveau sur le fo' ! Merci de commencer à peupler le D11, j'espère que ça ramènera du monde ahah Hehe Chouette perso que tu nous proposes là, amuse toi bien avec la jolie Love ! Sa tragédie familiale fait d'elle un perso très attachant, j'ai hâte de la voir évoluer **


Selon l'histoire de ton personnage et le barème établi, tu obtiens les Points de compétences suivants (ajoutés par Clyde, modérateur) :
Force: 3
Vigueur: 4
Coord : 4 (CG/CF)
Rapidité: 4
Intelligence: 5 (IP/IA/IC)
Perception: 4
Volonté: 5
Communication : 4
Corps à corps: 3
Combat armé: 2
Soin: 3
T.pro : Agriculteur

Tu peux dès à présent commencer à t'amuser dans le jeu.


   Cependant, avant toutes choses il te reste encore quelques missions à accomplir !

• Dans un premier temps, pense à recenser la célébrité qui te sert d'avatar dans le Bottin des avatars.

• Tu te sens un peu perdu sur le forum ? Tu aimerais un peu d'aide ? N'hésite pas à aller visiter le sujet de Parrainage.

• Ensuite, si ton personnage est encore en âge de participer aux Jeux, il faudra que tu signales le nombre de Tesserae que ton personnage possède en faisant un tour dans le Recensement des Tesserae pour faire valoir tes chances de participer aux Jeux.

• Il est très important que tu crées ton Livre de Bord car cela te permettra de créer des liens avec d'autres membres du forum afin de pouvoir commencer le RP. Tu trouveras toutes les informations nécessaires pour le créer dans ce sujet. De plus, tu pourras y récapituler d'un simple coup d’œil tes RPs, donc pense à le mettre à jour régulièrement !

• Pour finir, nous t'offrons 300 points afin que tu puisses choisir ton ou tes premiers talents. Ceux-ci doivent correspondre à la personnalité et à l'expérience de ton personnage, ils te permettent de le spécialiser. Vous pouvez consulter la liste des talents disponibles et leurs coûts dans ce sujet. Nous te laissons 7 jours pour nous signaler directement dans un message à la suite de ce sujet quel(s) talent(s) tu souhaites acquérir !


   Bonne chance  et surtout Bons Jeux !

   Puisse le sort t'être favorable !

 Le staff
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Love Owen
Love Owen
« »
★ Âge : 17 ans.
☆ Surnom : Je préfère mon prénom
★ Occupation : Arboricultrice
☆ Humeur : Indomptable
★ Plat préféré : Les pêches
☆District : District Onze

○ Points : 30
○ Barre de vie :
Love R. OWEN Left_bar_bleue200 / 200200 / 200Love R. OWEN Right_bar_bleue


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Love R. OWEN Vide
MessageSujet: Re: Love R. OWEN   Love R. OWEN EmptyLun 7 Mai - 16:29

Mirci ^^ J'ai hâte de l'aiguiller vers son avenir ! Bon, j'ai longtemps réfléchi sur ses talents, mais je me suis enfin décidée ! Miracle !

Escalade (talent binaire) : 100 points ~ Généralement, Love travaille en hauteur dans les arbres afin d'atteindre les plus hautes branches, parfois difficile d'accès. Elle n'a pour autant jamais eu l'occasion de tenter l'escalade sur paroi rocheuse.

Mensonge novice (talent quotidien) : 150 points ~ Depuis l’exécution de son père, Love cherche à sembler aussi fragile et enthousiaste qu’auparavant, malgré haine, soif de vengeance et  méfiance nouvelles.

Je ne peux pas utiliser les 50 points restants, j'en reste là.

Voili-voilou ! <3
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MessageSujet: Re: Love R. OWEN   Love R. OWEN Empty

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Love R. OWEN

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