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 Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné]

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MessageSujet: Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné]   Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné] EmptyDim 3 Juil - 3:33














Un brin d'électricité dans l'air...
~ Quand rien ne va... ~






Quelques semaines avaient passé depuis la révélation à propos de mes parents, ma vie était sans dessus-dessous. J'avais quitté l'orphelinat sur un coup de tête, même si j'aimais à croire que cette décision était une étape inéluctable. Tout était bon pour continuer à rester dans ce climat de déni, ou du moins d'oubli, où chacune de mes réactions pouvait être analysée et expliquée de manière logique. J'avais besoin de cette stabilité, de cette sécurité : toutes deux m'assuraient un équilibre qui avait toujours été le mien et qui était devenu bien plus fragile ces derniers temps, encore plus depuis le baiser.

Je secouais la tête, Clary que faisais-tu ?

Autour de moi, peu de monde s'affairait à la tâche. Le laboratoire était toujours fréquenté par les mêmes chercheurs. Quant à notre unité, elle ne comptait quatre assistants et deux ingénieurs, dont je faisais partie avec mon mentor et ami William. Bien entendu, nombreux étaient ceux qui s'y joignaient ponctuellement pour des projets plus vastes et d'autant plus ambitieux. Aujourd'hui était un jour calme, un jour habituel. Que disais-je... Rien n'était plus "habituel" ou "normal" depuis que je savais.

C'est pour cela que je m'acharnais au travail. Que mes mains griffonnaient une nouvelle arme, plus précise avec un viseur faisant appel à une toute nouvelle technologie, permettant à son utilisateur de connaître avec certitude le point d'impact grâce à un zoom dirigé seulement par des mouvements digitaux. J'aurais rêvé de la pointer sur la tête de McMillan... Et peut-être qu'un jour, je pourrais le faire. Manier une arme n'était pas dans mes cordes : j'étais la conceptrice, pas l'utilisatrice même s'il m'arrivait d'en tester. Cependant cette invention assouvissait particulièrement mon fantasme du moment, rendant l'image d'une balle entre les deux yeux de cet homme méprisable plus accessible.

Je lâchai mon crayon avec un soupir en retournant vers le prototype posé à côté, la route serait encore longue pour réaliser ce vœu vengeur.

Un peu distraite, j'emportai le prototype jusqu'à notre générateur électrique afin de pouvoir l'actionner pour en tester le confort et la fluidité. L'engin, entièrement automatisé, avait besoin d'un courant à basse tension pour fonctionner et il faudrait prévoir une batterie suffisamment puissante pour éviter les pannes inopportunes, c'était l'étape suivante de création. Mais d'abord, place au test !

Un branchement, un second. Puis le levier de mise en tension fut tiré, un jaillissement d'étincelles me sauta au visage. J'eus juste le temps de faire un petit bond en arrière avant qu'une flamme d'une bonne trentaine de centimètres s'échappe de l'engin avant de s'éteindre aussi brusquement qu'elle s'était matérialisée : emportant avec elle une mèche de mes cheveux qui désormais arborait une odeur âcre de paille brulé. Charmant...
   
« Purée... C'est quoi ce bazar... » râlai-je à voix haute alors que William m'avait rejoint, j'ajoutais : « Je crois que j'ai un peu sous-estimé la puissance de ce truc ! Il devait y avoir une fuite de liquide... »

Il ne manquait plus qu'un ennui technique pour venir gâcher ma journée. Mon humeur n'était déjà pas au beau fixe, alors si mon matériel commençait également à se retourner contre moi. J'oscillais entre simple agacement et énervement grandissant, ce dernier prit le dessus lorsque, après débranché le générateur, je relevai sur l'étiquette de contrôle roussie que l'engin n'avait pas été inspecté depuis des mois.
   
« Ils vont m'entendre à la maintenance... » pestai-je en agrippant le téléphone de service.
   
« Clary, tu peux les disputer mais essaies de ne pas tester l'arme sur eux ! » me lança William en riant.
J'eus un sourire, comment pouvait-il si bien lire dans mes pensées ?
La conversation avec le chef de la maintenance fut houleuse. Loin de me laisser démontée par ses ridicules excuses quant à son manque de personnel et ses mauvaises informations concernant la date de révision prévue, je l'incendiais au moins autant que ma mèche avait flambé. Une intervention pour réparer cela d'ici trois jours, mais où se croyait-il ? La recherche n'attendait pas ! J'étais furieuse, mon ton s'était haussé, arborant des aigus qui trahissait mon envie de lui proposer des séances dans quelques uns de mes machines. Au bout de plusieurs minutes, il avait fini par abdiquer, reconnaître ses torts et me promettre l'intervention d'un de ces électriciens dans l'heure. Mieux valait pour lui qu'il tienne parole.

Après tout, c'était à cause d'incapables tels que lui si nos chercheurs étaient freinés dans leur élan créatif et que le Capitole perdait du terrain sur ces foutus rebelles.

A cette pensée, mon corps se raidit. Les réflexes de mes années passées à admirer le Capitole et ce qu'il m'avait "offert" étaient encore difficiles à éradiquer. Un soupir. Je me tournai vers William. Il ne savait pas. Personne ne savait à quel point j'étais différente maintenant. Pourtant, je n'avais pas encore l'étoffe de cette fille qui aurait dû servir la mémoire de ses parents. J'étais pervertie par le système, rongée par des années de mensonge. Ma main passa sur mon front, me noyer dans le travail était tellement facile. C'est pourquoi je m'y réfugiais, j'en avais besoin...pour l'instant.

En bonne ingénieur psychorigide, je m'installai sur un tabouret devant une de nos tables d'expérimentation. Le regard rivé vers la porte d'entrée du laboratoire, j'attendis.

Tic tac... Une demi-heure, pas d'électricien. Tic tac... Ton heure est écoulé chef de la maintenance, attends de voir que ton employé arrive. Tic tac... Deux heures que j'attends, mon crayon court à nouveau sur le papier pour vérifier le calcul de la puissance nécessaire au circuit électrique de l'arme. Tic tac... Bientôt trois heures, la fin de l'après-midi approche et je viens d'ouvrir tout le circuit pour changer les résistances qui ont bien entendu grillé avec le choc : heureusement le processeur de la lunette n'a pas grillé. Tic tac...

Ma journée de travail était censée être terminée depuis plus d'une heure quand l'employé avait enfin débarqué au laboratoire dans son uniforme d'électricien de maintenance. Boîte à outils en main, il n'avait pas amené de nouveau générateur et je me pris à me demander si on l'avait au moins prévenu du problème ou s'il allait falloir que je fasse le boulot moi-même tant leur incompétence était sidérante. Son air juvénile ne l'excusait pas pour autant à mes yeux, même si je me pris à penser qu'on l'avait sans doute envoyé juste pour me faire payer mon ton désagréable au téléphone. Qu'il ne s'inquiète pas, je trouverais un moyen plus tard de leur rendre la monnaie de leur pièce.
   
« C'est pas trop tôt ! » lui dis-je sur un ton sec sans plus attendre. « Votre chef vous a dit ce qu'il se passait ou bien vous êtes un stagiaire qu'il a envoyé au casse-pipe parce qu'il sait que ça va souffler dans les tuyaux si cette "panne" n'est pas réparée de suite ? »
Soyons honnêtes, je n'étais pas sympathique. J'étais dure et sèche mais la patience n'était pas mon point fort lorsqu'elle concernait l'attente de personnes peu consciencieuses dans leur travail !
   
« Vous auriez dû arriver il y a six heures... » ajoutai-je en me dirigeant vers le générateur. Voyant qu'il ne m'embotait pas le pas, j'ajoutai : « Vous restez planté là ou vous regardez enfin pourquoi le générateur qui aurait dû être contrôlé il y a trois mois a failli m'exploser au visage ? »
La mèche carbonisée flottait encore devant mes yeux quand je passai la main pour la glisser derrière mon oreille. *Allez un peu de nerf jeune homme, fais ton travail* pestai-je intérieurement pendant que mes pas claquaient sur le carrelage blanc et impersonnel du laboratoire, deuxième maison et refuge de mes angoisses... Sans doute la raison pour laquelle je ne supportais pas le moindre accroc dans cet univers protégé, alors qu'ailleurs tout n'était que chaos dans mon existence...










Dernière édition par Clarissa L. Stern le Lun 24 Avr - 9:42, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné]   Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné] EmptyDim 3 Juil - 15:13

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Clarissa L. Stern



Depuis le qu'il était en âge de comprendre la notion de misère, Jack Powell n'avait qu'une envie : s'en libérer. En effet, sa famille s'était enfoncé au plus profond des tréfonds de la pauvreté, et ils avaient à présent à peine de quoi s'acheter à manger. Il vivait dans une maison d'une pièce, et devait traverser le village chaque jour pour se rendre à la salle de bain publique. Et pour l'instant, ils n'étaient pas prêt de s'extirper de cette misérable vie. Son père, Wilfried Powell, était arrivé au stade terminal d'un cancer des os, et vivait dans la douleur. La sœur de Jack, Jane, veillait sur leur père, tout en s'occupant de la maison. Ils n'avaient même pas eu assez d'argent pour sauver leur géniteur, et n'allaient pas tarder à se retrouver seul, leur mère étant déjà partie, lors d'un accès de rage de Jack.

Jack avait donc pris le relais de son père, et travaillait à plein temps en tant qu'électricien. Soit il se trouvait dans son atelier, en train d'essayer d'inventer de nouveaux systèmes pour leur faciliter la vie, soit vous pouviez le croiser n'importe où dans le district 3, en train de réparer un générateur ou quelque chose du genre. Aujourd'hui, il avait donc été envoyé travailler à la mairie, car tous le premier étage avait court-circuité. Finalement, il n'avait eu qu'à remplacer les fusibles, et avait donc gérer rapidement la crise.

Il était parti pour rentrer chez lui, car il commençait à faire nuit, quand la maintenance l'avait appeler et lui avait proposer une autre course. Jack avait immédiatement accepter. Il ne manquait jamais de faire des heures supplémentaires, pour empocher quelques pièces en plus, de quoi éviter le jeun à la fin du mois.

Il avait donc enfourcher son vieux vélo, et avait filé à toute vitesse vers le laboratoire, là où travaillaient les ingénieurs du district 3. On ne lui avait pas précisé ce qu'il devrait y faire, ni même combien de temps ça prendrait, et encore moins si il était qualifié pour ce genre de travail. Mais Jack Powell était débrouillard, et arrivait à se dépatouiller la plupart du temps, même lorsque le travail que l'on lui demandait sortait un peu des sentiers battus.

En arrivant au laboratoire, il posa son vélo contre un mur, repris sa trousse à outils, et se dépêchait d'entrer dans le bâtiment. On l'avait appelé il y a une heure, il avait donc quinze minutes de retard. Mais après, ce n'était pas Superman, il ne pouvait pas traverser tout le district en un clin d’œil. Il avait fait ce qu'il pouvait, et il espérait surtout qu'il n'aurait pas une retenue sur salaire pour ce retard.

En entrant, un employé lui indiqua la salle du générateur. Il s'y dirigea, et aperçu une ingénieure qui avait l'air assez énervé. Elle devait avoir le même âge que lui, et devait être présente lors de l'incident, car elle avait une mèche de cheveux carbonisée devant son visage.

-C'est pas trop tôt ! lui dit-elle sur un ton qui était tout sauf amical. Votre chef vous a dit ce qu'il se passait ou bien vous êtes un stagiaire qu'il a envoyé au casse-pipe parce qu'il sait que ça va souffler dans les tuyaux si cette "panne" n'est pas réparée de suite ?

-On m'a envoyé ici pour un « accident de travail »., mais je ne sais rien de plus. Qu'est ce qui ne va pas ? Lui demanda-t-il.

-Vous auriez dû arriver il y a six heures...Vous restez planté là ou vous regardez enfin pourquoi le générateur qui aurait dû être contrôlé il y a trois mois a failli m'exploser au visage ? 

-Moi je n'ai été prévenue qu'il y a une heure. J'ai fait au plus vite. Répondit-il en s'approchant du générateur.

Apparemment, le demoiselle n'était pas vraiment ravie de le voir. Il allait devoir bien choisir ses mots, si il ne voulait pas la mettre encore plus en rogne qu'elle ne l'était déjà.



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MessageSujet: Re: Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné]   Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné] EmptyMer 6 Juil - 13:30















Un brin d'électricité dans l'air...
~ Quand rien ne va... ~






Agacée, énervée et gagnée peu à peu par la fatigue, je n’étais pas d’humeur à distribuer les responsabilités dans cette malheureuse histoire. Alors je déversais toute ma frustration sur ce jeune électricien qui semblait dépassé par la tournure qu’avaient pris les événements. Son inertie face à mes remarques ne faisait qu’attiser mon envie de lui faire payer son inaction, alors que dans mes pensées continuaient à résonner la boutade de William… Pas d’idée stupide ou extrême, pas ce soir, tu n’es pas dans ton état normal.

Ma bonne résolution vola en éclats lorsqu’il commença à me parler d’un « accident de travail ». C’était une blague ou quoi ? Un « accident » ? C’était un complot plutôt vu la lointaine date d’entretien qui n’avait pas été respectée ! Et avec tout cela, il me demandait ce qui n’allait pas !

J’étais en train de prendre une grande inspiration, de tenter de me contrôler et d’exclure de mon esprit ce désir furieux de lui lancer une remarque acerbe, quand il ajouta :

« Moi je n'ai été prévenue qu'il y a une heure. J'ai fait au plus vite. »

Il passa devant moi d’un pas lent, se dirigeant avec précaution vers le générateur et je ne pus me retenir de lui envoyer une dernière pique, juste pour passer mes nerfs :

« Vous pouvez y aller, maintenant qu’il a failli incendier le labo je pense qu’il doit être assez défaillant pour vous… »

D’accord, c’était un sarcasme. Un sarcasme vraiment pas sympathique, voire carrément déplacé surtout lorsqu’on songeait à l’explication qu’il venait de me soumettre. Prévenu il y a une heure… C’était donc un fusille. Rien qu’un pauvre petit fusille qu’on m’avait envoyé pour me donner une leçon quant à mon ton trop cinglant. J’aurais dû être vexée, sentir la rage monter en moi et brûler d’une colère sombre au point de songer déjà à la façon dont j’allai m’y prendre pour faire passer le chef de la maintenance pour un incapable au vu et su de tous. Mais voilà, il y avait ce jeune qui devait avoir à peu près mon âge et qui commençait doucement à s’affairer sur le générateur pendant que je restai stoïque derrière lui, bras croisé et expression fermée. Je songeais que c’est ce qu’il advenait quand on était en bas de l’échelle, on vous envoyait dans la gueule du loup : cela faisait de moi le loup, non ? Rien que la satisfaction de constater que malgré leur pied de nez, ils ne faisaient qu’avouer que j’étais à craindre… Cette conclusion, même si elle était sans doute un peu hâtive, contribua à satisfaire quelque peu le besoin de reconnaissance qui était le mien, avec elle s’envola également ce désir terrible d’arracher les yeux de ce dépanneur pour l’attente qui l’avait précédée.

« Alors comme cela, vous avez été prévenu il y a une heure ? » dis-je pensive, laissant ma phrase en suspens avant d’ajouter : « Vous ne devez pas être dans les bons papiers du patron alors… »

Envoyé dans la fosse aux lions quand l’horloge avait dépassé l’heure du dîner, dire qu’il n’était pas apprécié de ses supérieurs étaient clairement un euphémisme. Je m’installai sur un tabouret, pour mieux contrôler ce que cet employé était en train de bricoler dans le générateur : après tout, cela pourrait peut-être m’être utile. On n’avait jamais assez de connaissance.

Au bout d’un moment, je finis par lâcher sur un ton neutre et dénué d’émotions :

« Vous faites ce job depuis longtemps ? »


Maintenant, je faisais la causette à un type que je ne connaissais ni d’Adam ni d’Eve et contre lequel j’avais potentiellement pesté toute la journée durant. De mieux en mieux… Je me relâchais. Je plongeais dans cette espèce de folie de « socialisation » et je n’étais décidemment pas douée pour ça. Mes inventions avec leur côté prévisible étaient rassurantes, tranquilles. Les humains avaient toujours tendance à montrer des velléités, à ne jamais s’enthousiasmer du moindre objectif et à être flanqué d’une vilaine manie à faire appel à l’inattendu. Les machines, elles, faisaient leur travail consciencieusement, régulièrement, sans jamais faillir.

L’erreur était humaine. C’était sans doute pour cela que je me réfugiais ici, loin de toute humanité au lieu d’affronter la pire des erreurs que j’ai jamais commise : aider les meurtriers de mes parents.









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MessageSujet: Re: Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné]   Un brin d'électricité dans l'air... [Abandonné] EmptyMer 6 Juil - 16:48

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Clarissa L. Stern



Oui, cette demoiselle avait vraiment l'air très en colère d'avoir attendu autant de temps. Mais cela n'affectait pas la moins du mon de Jack, car lui n'y était pour rien. Et à cause de son petit problème de violence, il avait appris à rester calme. Après lui avoir expliqué qu'il n'avait été prévenu qu'il y a une heure ; il commença à observer le générateur pour voir ce qui avait laché. D'après ces dires, c'était la faute de la maintenance, et le labo avait faillit être incendier. Oui. Le système de refroidissment avait dû lacher, et quand elle a allumé le générateur, le court-circuit automatique avait rapidement été allumé, et Emilie s'en était tiré avec une mèche de cheveux brûlé. Elle aurait pû être désintégré.

Puis, la jeune fille lui dit qu'il ne devait sûrement pas être aimé de son patron. Après un ton âcre et presque insultant, maintenant elle le traitait de mauvais electricien. Lui qui était le meilleur, celui que son patron préférait. Lui qui travaillait tant, et une fille qui ne le connaissait même pas osait le juger sans vraiment savoir !! Certes, je viens de vous dire que Jack était d'u nnaturel plutôt calme, mais la c'était carrement inadmissible.

-Qui êtes vous pour jugez les gens comme ça mademoiselle ? Encore, je veux bien que vous vous enerviez pour le retard de mon arrivée, bien que je n'y soit pour rien, mais ne venez pas critiquez mon travail. Et pour votre gouverne, c'est moi même qui ai décidé de venir ici, pour arrondir les fins de mois.

Non mais oh ! Pour qui elle se prenait !! Il n'avait peut-être pas à lui répondre comme ça, mais elle n'avait qu'a pas commencé à lui parler sur ce ton désagréable. Après un blanc de quelques minutes, elle enchaina en lui demandant si il faisait ce travail depuis longtemps. Il avait commencé à aider son père dès qu'il pouvait manipuler des outils, et quand il avait acquérit assez de technique, il avait commencé à travailler et rapporter de l'argent à la famille. C'était le moment ou ils avaient eu le plus d'argent en poche.

-Oui, une petite dizaine d'année je pense. Mais pourquoi cette question ? Lui répondit-il tout en s'affairant autour du générateur.



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