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 On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.

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Clyde J. Holden
Clyde J. Holden
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MessageSujet: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptyLun 13 Juil - 19:37

On reconnait facilement un photographe [...]
Emilie & Clyde




Clyde descendit d’un pas rapide du train qui l’avait amené au district 3. Il avait pas mal de choses à acheter et pas beaucoup de temps s’il ne voulait pas voir le rédacteur en chef du journal lui reprocher son retard. Avec ses recherches sur les rebelles il avait un peu mis de côté le journal et s’il voulait conserver sa place il devait montrer son utilité. Mais il ne m’inquiétait pas vraiment. Deux ou trois ragots croustillants à mettre sous la dent des Capitoliens, rendre service au patron en allant chercher ce matériel et tout rentrera dans l’ordre.

Il aimait assez me rendre dans ce district. Toujours à la pointe de la technologie, il ne cessait de surprendre par ses inventions. Il formait des ingénieurs brillants et les gamins dans l’arène étaient toujours pleins de ressources et donnaient pas mal de spectacle. Il aimait aussi l’allure qui se dégageait du paysage. A la fois moderne, mécanique, cela impressionnait Clyde qui n’avait aucune notion en la matière, aucune connaissance. Ayant suivi des études littéraires, tout ce qui touchait à la science, bien que cela l’intéressait, lui était encore inconnu. Les bâtiments autour de lui étaient dans les gris métal, sombre, ou argenté, qui inspirait Clyde pour l’introduction d’un article qu’il pourrait écrire sur le district.

S’il aimait regarder la ville, il ne perdait pas de vue son objectif et marchait d’un pas rapide à l’usine où était fabriqué le matériel qu’il était venu chercher. Une perche pour le son plus précise, plus calibrée pour ne retenir que les bruits d’ambiance, comme une foule par exemple. Car s’il écrivait généralement pour le même magazine, il lui arrivait de collaborer avec la chaîne officielle du Capitole, où son père travaillait. Son patron avait également commandé un appareil photo, avec une résolution bien supérieure aux anciennes. Enfin, il avait prévu d’acheter –et c’était quelque chose qu’il allait s’offrir car c’était plus un caprice qu’une réelle nécessité- était une caméra. Un de ces gadgets perfectionnés qui, à la pointe de la technologie, allait lui permettre de récolter les informations dont il pouvait avoir besoin. De toute petite taille, il pouvait se glisser dans n’importe quel sac, n’importe quelle poche, et enregistrait tout ce dont il avait besoin de savoir. Relié à un écouteur que Clyde aurait toujours sur lui, cela lui permettrait de récolter des informations très intéressantes, autant au Capitole que de la part des rebelles. Ses recherches s’étaient jusqu’alors révélée infructueuses, et il avait décidé de passer à la vitesse supérieure en prenant plus de risques.

En suivant le plan qu’on lui avait donné, il trouva sans problème l’endroit qu’il cherchait. Un bâtiment imposant se dressait devant lui. D’un pas assuré, il entra par la porte destinée aux achats des particuliers. S’il n’était jamais entré dans cette usine en particulier, il savait comment cela fonctionnait c’est donc d’un geste confiant qu’il poussa la porte et pénétra dans l’usine.

Une petite sonnette annonça son arrivée lorsqu’il franchit la porte. Quelques instants plus tard un homme apparut derrière le comptoir, un large sourire vendeur aux lèvres.

▬  Bonjour monsieur ! Puis-je vous être utile ?

Même si ce sourire et ce sont aussi enjoué étaient tout sauf naturels, Clyde décida de ne pas s’en formaliser. Après tout, ici comme au Capitole, il s’agissait de faire bonne figure pour obtenir ce que l’on voulait.

Lui rendant son sourire, Clyde tendit au vendeur une feuille sur laquelle étaient écrites les références exactes de ce qu’il devait acheter.

▬  Bonjour, je recherche du matériel précis, avez-vous cela en magasin ?

La question était plus une question de politesse qu’autre chose, le jeune journaliste était certain qu’il allait trouver ce qu’il cherchait, il s’était renseigné avant de venir. Le vendeur examina les références un instant et sourit de plus belle :

▬  Je me rappelle de vous, vous avez appelé il y a quelques jours. Vous venez du Capitole n’est-ce pas ?? Ce n’est pas tous les jours que l’on en croise au district 3 vous savez !

On sentait un si grande excitation dans sa voix, mais cela ne toucha pas un instant qui se contenta d’hocher simplement la tête. Voyant le désintérêt de son potentiel client, le vendeur se racla la gorge avant de reprendre son sérieux :

▬  Je vais vous chercher ça en réserve tout de suite, en attendant vous
pouvez regarder nos nouveaux modèles.

D’un geste ample de la main il désigna tout un rayon où étaient disposées toute sortes d’appareils.

▬  J’ai tout mon temps, répondit simplement Clyde.

Alors que le vendeur disparut certainement dans la réserve, Clyde s’approcha de ces fameux modèles et repéra tout de suite ce qui l’intéressait. De toute petite taille, un dizaine de caméra attira son attention. Chacune avait sa particularité : la précision de l’image, du son, un meilleur camouflage, une plus grande distance entre l’appareil et l’écouteur….
Toujours plongé dans ces appareils, en pleine réflexion, il n’entendit pas la sonnette retentir de nouveau, annonçant la venue d’un nouveau client.





Dernière édition par Clyde J. Holden le Dim 26 Juil - 20:56, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptyVen 17 Juil - 18:51



On reconnait facilement un

photographe [...]

Clyde Holden & Emilie Dawning



C’était une journée comme les autres. Emilie était partie tôt dans la matinée car elle avait rendez-vous avec un ami qui avait une surprise à lui montrer. Il lui a juste précisé de prendre son appareil photo. Emilie avait très vite accepté. Et était partie de chez elle, avec un blouson car il faisait assez frais, et des bottes pour marcher. Elle ne savait pas où il allait l’emmener, alors autant penser à toutes les possibilités.

Elle marchait d’un pas lent. Il faisait beau, l’air était agréable, elle voulait en profiter. Henri attendra. Elle obliqua sur la droite ; elle était bientôt arrivée. Elle vit son ami au loin, adossé à un mur. Elle lui fit un signe de la main et lui sourit. En arrivant à sa hauteur, elle lui dit :

« Salut Henri ! Comment vas-tu ? »

Henri était un ami qui fréquentait la même école depuis très longtemps. Ses parents étaient également les amis des parents d’Emilie.

« Ça va bien merci ! Et toi ? Tu en as mis du temps ! »

Emilie rigola.

« Oui je sais j’ai pris mon temps ! Bon, montre-moi la surprise, je n’en peux plus ! »

Henri joignit son rire avec Emilie. Cela faisait tellement longtemps qu’il en avait parlé, et maintenant qu’ils étaient là, Henri n’avait pas l’air tellement pressé.

« Oui, suis-moi, c’est par là ! » Répondit-il en pointant une rue du doigt.

Ils prirent ce chemin, tout en discutant. Ils parlèrent notamment des Jeux. La mort des deux tributs de leur district, les tributs favoris d’Henri, et les nouvelles épreuves inventées par les juges.

« Cette Expiation est à la fois horrible et magnifique ! ajouta Henri. »

Emilie hocha la tête: elle  bien d’accord avec lui.
Henri s’arrêta net. Il se tourna vers Emilie et dit :

« Maintenant, ferme les yeux, et laisse toi guidée ! »

Emilie obéit, et sentit l’excitation monter en elle. Elle prit le bras d’Henri et avança doucement. Pas longtemps après, son ami arrêta de marcher.

« Voilà, et maintenant profite du spectacle Em’ ! »

Et ce spectacle valait largement le coup, pour Emilie. Ils étaient en hauteur, et tout le district était à portée de vue, en contre-bas. Une légère brume recouvrait les bâtiments, tandis que le soleil commençait à apparaître à travers les arbres. C’était magnifique. Elle ne regrettait pas d’avoir pensé à avoir prendre son appareil photo. Elle commença à prendre quelques clichés, sous l’œil attentif d’Henri.

« Henri merci, c’est… Incroyable. »

Sa réponse était pitoyable face à ce cadeau qu’il lui avait fait, mais elle était à court de mots. Elle lui demanda de poser, et ils passèrent une grande partie de la matinée à rigoler et à se prendre en photo.

Sur le chemin du retour, et après avoir dit au revoir à Henri, elle se rendit compte qu’elle n’avait plus de pellicule photo dans son appareil. Après réflexion, elle n’en avait plus chez elle non plus. Elle allait devoir passer chez son fournisseur officiel, comme disait ses parents. En effet, elle passait beaucoup de temps à vagabonder dans une des boutiques d’appareils électroniques qui se situait dans une des rues principales du district.

Elle poussa la porte de la boutique. La familière sonnette retentit. Mike n’était pas là. Il devait être dans l’arrière-boutique. Mike était le gérant de la boutique. Elle le connaissait bien, car vu le temps passé dans sa boutique, ils avaient fait connaissance.

Elle parcourra la boutique des  yeux. Il n’y avait là qu’une autre personne à pars elle. C’était un jeune homme, mais ce fut tout ce qu’elle pouvait dire car il était de dos. Il observait avec intérêt les caméras présentées sur une étagère. Emilie ne l’avait jamais vu par ici.

Elle s’adossa au comptoir, et demanda :

« Mike, tu es là ? C’est Emilie ! »

Pas de réponse. Et se retourna alors, et demanda au mystérieux jeune homme :

« Excusez-moi, avez-vous vu le gérant du magasin ? »

En le voyant attendre là, elle eut une idée.

« Sinon, vous cherchez quelque chose en particulier ? Proposa-t-elle. Je connais bien ce magasin, je pourrais peut-être vous aider ! »




Dernière édition par Emilie R. Dawning le Sam 12 Sep - 13:57, édité 2 fois
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Clyde J. Holden
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MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptyDim 26 Juil - 20:56

On reconnait facilement le photographe [...]
Clyde Holden




▬  Mike, tu es là ? C’est Emilie !

Une voix fluette le tira de sa rêverie. Il se retourna et vit une jeune fille enter dans la boutique. Sans lui accorder plus d’attention qu’elle n’en demandait, il se replongea dans ses appareils photos. Le prix n’était vraiment pas ce qui le préoccupait le plus, Clyde était sûr que, venant du Capitole, il aurait pu acheter toute la boutique sans problème.

▬  Excusez-moi, avez-vous vu le gérant du magasin ?

Clyde releva de nouveau la tête. La jeune fille s’était approchée et se tenait juste derrière lui. Clyde la détailla rapidement. Jeune adolescente, elle ne devait pas avoir plus de 17 ans. Elle était relativement grande mais son visage, gardant encore un peu la rondeur de son enfance, trahissait son jeune âge. Elle avait à la fois l’air d’une touriste avec l’appareil photo autour de son cou, mais elle dégageait une assurance qui, au contraire, faisait d’elle une habituée de l’endroit. Peut-être pourrait-elle l’aider. Arborant son plus beau sourire, Clyde répondit :

▬  Oui, il est partit dans la réserve me chercher une commande. Mais il ne devrait pas tarder.

En le regardant plus attentivement, Clyde se dit qu’elle avait vraiment l’air de connaître le magasin, et même me gérant particulièrement. Elle serait sûrement de bons conseils. Avant qu’il ne puisse lui poser une question, elle reprit la parole pour lui proposer :

▬  Sinon, vous cherchez quelque chose en particulier ? Proposa-t-elle. Je connais bien ce magasin, je pourrais peut-être vous aider !

Parfait, pensa Clyde. Son sourire s’élargit. Elle pourrait lui donner de précieux conseils, de meilleure qualité que le vendeur qui cherchera à vendre ses produits les plus chers, sans savoir ce qu’il désirait réellement.

▬  Peut-être pourras-tu m’être utile, merci de proposer ton aide ! Je suis Clyde, journaliste au Capitole. A qui ai-je l’honneur ?

Je tendais ma main devant moi pour serrer la sienne. Dans les techniques de manipulation que l’on nous enseignait dans les écoles de journalisme pour soutirer des potins, la poignée de main était primordiale, et c’était tout un art de la maîtriser. Assez ferme pour montrer que l’on est là et déterminer, mais pas trop pour ne pas intimider l’interlocuteur. Parler dans les yeux, mais sourire. Et prononcer souvent le nom de son interlocuteur. S’imposer en
douceur pour obtenir ce que l’on veut.

▬  Je travaille dans un journal un peu… particulier : je publie des ragots sur les personnes les plus en vue au Capitole, histoire d’alimenter les rumeurs et les conversations un peu ternes et monotones, hors période des Jeux, des habitants du Capitole. Je suis à la recherche d’un petit appareil, une caméra reliée à un écouteur qui me permettrait d’espio… de récolter ces fameuses informations.

Evidemment je n’en n’aurais pas cette utilité. L’argent et la manipulation était largement suffisants pour corrompre tout être dépourvu d’honneur, et ce n’est pas ce qui manquait au Capitole. Avec cette caméra j’espérais récolter des informations me permettant d’en savoir plus sur les rebelles pour en contacter un. Ou, mieux, récolter des informations du gouvernement pour les transmettre aux rebelles, pour prouver ma bonne foi.

▬ Ce n'est pas un appareil comme tu as autour de cou, le but n'est pas la qualité parfaite de l'image. Tu aurais une idée de ce qui pourrait me convenir ?




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MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptySam 12 Sep - 14:00



On reconnait facilement un

photographe […]


Clyde Holden & Emilie Dawning


«   Oui, il est partit dans la réserve me chercher une commande. Mais il ne devrait pas tarder. »

Bien, de toute façon, elle avait tout son temps. Elle se permit d’observer plus longtemps le jeune homme. Il devait avoir un peu plus de 20, et était bien habillé. Il était brun avec de beaux yeux marron. Elle lui demanda s’il avait besoin d’aide.

« Peut-être pourras-tu m’être utile, lui répondit-il, merci de proposer ton aide ! Je suis Clyde, journaliste au Capitole. A qui ai-je l’honneur ? »

Ces derniers mots furent ponctués par un geste de sa main pour la saluer. Elle fut tout d’abord surprise, aucun inconnus ne lui avaient dit bonjour de cette manière-là. Elle tendit néanmoins sa main à son tour avant de lui répondre.

« Je m’appelle Emilie, Emilie Dawning. Dit-elle en lui rendant son sourire. Je me disais aussi que je ne vous aviez jamais vu par ici. C’est la première fois que vous venez au district 3 ?»

C’était rare pour Emilie de voir des personnes d’autres districts, alors du Capitole… Elle se dit qu’elle pourrait discuter un peu avec lui, pour savoir ce qu’il se passait là-bas.
Quoiqu’il en soit, il répondit à sa demande pour savoir s’il avait besoin d’aide.

«  Je travaille dans un journal un peu… particulier : je publie des ragots sur les personnes les plus en vue au Capitole, histoire d’alimenter les rumeurs et les conversations un peu ternes et monotones, hors période des Jeux, des habitants du Capitole. Je suis à la recherche d’un petit appareil, une caméra reliée à un écouteur qui me permettrait d’espio… de récolter ces fameuses informations. »  

Emilie, sans s’en apercevoir vraiment, était un peu déçue. Elle imaginait un photographe se battant pour une cause, une sorte de justicier qui agirait dans l’ombre, mais non, il n’était qu’un rapporteur de ragots et de potins. Certaines personnes pouvaient peut-être aimer ce genre de journal, elle savait que c’était très en vogue au Capitole, mais elle n’en voyait vraiment pas l’intérêt. Elle devait quand même l’aider, même si elle n’était plus aussi motivée qu’avant. Elle osa tout de même une petite remarque.

« Ha… Mais, ça vous plaît comme travail ? Je veux dire… Ce n’est pas aussi palpitant que journaliste sur le terrain, avec les pacificateurs par exemple ! Avec un peu d’action quoi ! Vous pensez à évoluer, où rester dans cette branche du métier ? »

Décidemment, elle devrait apprendre à ne pas être aussi curieuse. En quoi cela la concernait ? En rien. Elle ne savait pas comment il allait réagir. Elle le connaissait depuis cinq minutes, et elle commençait déjà à taper la causette. Cela ne dérangeait pas la plupart des personnes avec qui cela arrivait, mais elle fallait qu’elle fasse attention à ne pas aller trop vite. Mais une fois qu’elle était lancée, elle ne pouvait plus s’arrêter ! Surtout si c’était une conversation aussi passionnante sur le journalisme.
Il continua :

«Ce n'est pas un appareil comme tu as autour de cou, le but n'est pas la qualité parfaite de l'image. Tu aurais une idée de ce qui pourrait me convenir ?  »

« C’est vrai que ce n’est pas vraiment le genre d’appareil que j’achète, mais je sais qu’il fait aussi ce genre d’appareil dans la boutique. »

Elle balaya la pièce des yeux avant de poser son regard sur un petit présentoir, disposé tout de suite à droite en rentrant dans la boutique.

« Je sais où c’est, suivez-moi. »

Elle se dirigea vers un rayon, pour ensuite obliquer à gauche. Elle voulait se retenir de parler, mais elle n’en pouvait plus, elle fallait qu’elle lui pose des questions.

« Ça doit être l’effervescence en ce moment au Capitole, avec l’Expiation ? D’ailleurs, vous avez pariez sur quel tribut ? Avec mes amis, on pense que c’est les jumeaux du deux qui vont gagner, vous en pensez quoi ?»  

C’était un bon sujet de conversation entre les heures cours : les gens faisaient leurs paris, certains essayaient de trouver la solution à cette fameuse boite, en invoquant elle ne savait quels théorèmes et principes mathématiques et physiques.  Emilie n’avait, quant à elle pas vraiment d’opinions. Aussi, elle aimait bien demander l’avis des autres, voir comment ils réagissaient par rapport aux jeux de cette année.

Elle arriva devant le rayon, et tendit sa main devant les différents modèles.

« Voilà, je crois que c’est tout ce qu’il y a. Ça vous convient ? »



Dernière édition par Emilie R. Dawning le Mar 28 Juin - 13:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptyMer 10 Fév - 14:52

On reconnait facilement le photographe [...]
Clyde Holden




Curieusement, le métier de Clyde ne sembla pas emballer la jeune fille. Pourtant il aurait parié le contraire, au Capitole c’était justement les filles de son âge qui en raffolaient. Une pointe de déception se fit entendre vibra dans sa voix lorsqu’elle demanda à Clyde :

▬   Ha… Mais, ça vous plaît comme travail ? Je veux dire… Ce n’est pas aussi palpitant que journaliste sur le terrain, avec les pacificateurs par exemple ! Avec un peu d’action quoi ! Vous pensez à évoluer, où rester dans cette branche du métier ?

Clyde pesa ses mots pour essayer de la convaincre de son métier. Même si lui-même n’en était pas convaincu, il était touché dans son orgueil et allait essayer de redorer le blason de sa profession.

▬   Ne le vois pas comme ça. Fais-moi confiance, pour l’avoir été, journaliste de terrain comme tu l’appelles n’est pas si passionnant que tu ne le crois. En général on est trop si bien encadré que l’on n’a aucune marge de manœuvre, et notre travail se borne souvent à de simples interviews pendant les Jeux des familles et amis des tributs.

Il s’arrêta un instant, craignant d’en avoir trop dit. Il jeta un coup d’œil derrière Emilie. Le vendeur n’était pas revenu, et le jeune journaliste ne pensait pas que son interlocutrice se rendait compte qu’il venait de critiquer la censure du Capitole. Il tenta d’enchaîner naturellement :

▬  Alors que ce que je fais au Capitole, je mène de véritables enquêtes. Ce n’est pas un travail de tout repos, et je dois me mettre dans de curieuses situations pour obtenir les informations dont j’ai besoin.

Pendant qu’il parlait, il suivait la jeune fille, qui visiblement savait où elle allait. Elle garda le silence mais le brisa soudainement, poussée par la curiosité :

▬   Ça doit être l’effervescence en ce moment au Capitole, avec l’Expiation ? D’ailleurs, vous avez pariez sur quel tribut ? Avec mes amis, on pense que c’est les jumeaux du deux qui vont gagner, vous en pensez quoi ?

Clyde lui sourit. Il se souvenait de ce sentiment d’excitation et d’impatience qui caractérisait les districts supérieurs pendant les Jeux, qu’il avait connu lorsqu’il était en reportage là-bas.

▬   En effet, ce n’est pas peu dire. Tout le monde – les organisateurs, les Juges, les stylistes- se sont surpassés cette année et nous promettent des Jeux inoubliables.

Il ne savait pas quoi répondre à la deuxième partie de la question. Il n’avait pas eu le temps de prendre assez de recul pour pouvoir y réfléchir convenablement, et n’avait pas consacré assez de temps cette année à étudier les possibles gagnants pour parier. Il décida de répondre sincèrement :

▬   C’est vrai que la victoire des jumeaux ne serait une surprise pour personne. Pour ma part, je t’avoue que le vainqueur m’importe peu. SI possible, quelqu’un auquel on ne s’attend pas, ça fera plus de ventes. Et avec beaucoup de secret, le Capitole adore les personnes mystérieuses.

▬   Voilà, je crois que c’est tout ce qu’il y a. Ça vous convient ?

Clyde se pencha sur les modèles qu’elle lui présentait. Après un rapide examen, il la remercia :

▬   C’est exactement ça, merci beaucoup. On peut dire que tu es plus efficace, le gérant a déjà envisagé de t’embaucher ?

A peine avait-il fini sa phrase que le vendeur sortit de la réserve, les appareils dont avait besoin Clyde dans chaque main. Avec un signe de la main, Clyde proposa à Emilie de rester là le temps qu’il paye. Il se dirigea vers le comptoir en sortant son portefeuille de son sac.

▬  Merci beaucoup monsieur. Vous pouvez faire une facture au nom de mon patron pour ces deux appareils, je paierai d’un autre côté cette caméra.

Tout en parlant, je posais la caméra que m’avait montrée Emilie, payait le tout et revint près de la jeune fille.

▬  Eh bien, c’était plus rapide que prévu, j’ai encore un peu de temps avant de prendre le train pour le Capitole. Tu es photographe, c’est bien ce que tu me disais ? Si tu as quelques clichés intéressants je pourrais te les acheter, ça t’intéresserait ?






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MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptyMar 28 Juin - 13:57




On reconnait facilement un

photographe quand […]


Clyde Holden & Emilie Dawning



«   Alors que ce que je fais au Capitole, je mène de véritables enquêtes. Ce n’est pas un travail de tout repos, et je dois me mettre dans de curieuses situations pour obtenir les informations dont j’ai besoin. »

Il avait l’air d’aimer son métier, c’était déjà ça, pensait Emilie. Mais bon, si elle n’arrivait pas à devenir journaliste d’investigation, peut-être se tournera-t-elle vers lui pour l’aider dans le milieu du journalisme. La conversation changea vers les Hunger Games.  

« C’est vrai que la victoire des jumeaux ne serait une surprise pour personne. Pour ma part, je t’avoue que le vainqueur m’importe peu. SI possible, quelqu’un auquel on ne s’attend pas, ça fera plus de ventes. Et avec beaucoup de secret, le Capitole adore les personnes mystérieuses. »

Les ventes, toujours les ventes. Ne faisait-il pas son métier pour son plaisir ? Si non, c’était vraiment triste. Emilie lui montra pendant ce temps ce qu’il cherchait.

« C’est exactement ça, merci beaucoup. On peut dire que tu es plus efficace, le gérant a déjà envisagé de t’embaucher ? »

Emilie sourit. Mike ne lui avait pas encore fait de proposition directe, même s’il avait glissé une ou deux allusions au fait qu’il voudrait bien qu’elle travaille pour lui.

« Non, pas encore… Mais cela ne saurait tarder ! Il ne saurait pas se passer d’un élément comme moi ! » Dit-elle en riant.

Travailler ici était un des objectifs qu’elle s’était fixée. Elle espérait vraiment que Mike lui propose un emploi dans son magasin bientôt. Elle voulait, comme en ce moment même, être en contact direct avec des personnalités importantes du journalisme Capitolien, afin de se faire des contacts.

Mike sortit de la réserve. Emilie allait sortir lorsque Clyde lui demanda de rester. Elle ne demandait que ça. Après avoir payé, il se tourna vers elle.

« Eh bien, c’était plus rapide que prévu, j’ai encore un peu de temps avant de prendre le train pour le Capitole. Tu es photographe, c’est bien ce que tu me disais ? Si tu as quelques clichés intéressants je pourrais te les acheter, ça t’intéresserait ? »

Emilie resta stupéfaite. C’était l’occasion ou jamais, la plus grande opportunité qu’elle n’ait jamais eu. Elle perdit ses moyens et ne sut pas quoi répondre pendant un instant. Elle reprit ses esprits. Elle n’allait pas laisser filer sa chance.

« Oui, je peux vous en montrer bien sûr ! » Répondit-elle, en essayant de cacher son impatience.

Elle hésita un moment. Allait-elle faire venir cet homme chez elle ? Elle ne savait pas comment allaient réagir ses parent. Elle prit une décision.

« Ma maison est à deux pas d’ici. Je vais en chercher et je reviens. »

Elle allait partir, quand elle ajouta en riant :

« Ne bougez pas ! »

Elle commença à marcher, puis commença à courir. Il n’aimait peut-être pas attendre. Elle arriva chez elle, chercha dans un de ses tiroirs quelques clichés. Elle se demanda s’ils étaient assez bons pour lui… Non, elle ne devait pas douter. Elle prit d’une main ferme toutes les photos et sortie en trombe de sa chambre.

Elle arriva devant la boutique où Clyde l’attendait encore. Ouf, il n’était pas revenu sur sa proposition.

« Voilà, j’espère que vous n’avez pas trop attendu… »

Elle lui donna ses photos.

« C’est quelques photographies que j’ai prises dans le district. Il y a des paysages, mais il y a aussi quelques portraits. »

Elle le dévisagea, en attendant son verdict.

« Qu’est-ce que vous en pensez ? »



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Clyde J. Holden
Clyde J. Holden
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○ Points : 1139
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MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptyMar 5 Juil - 14:02

On reconnait facilement un photographe [...]
Emilie & Clyde





Clyde sourit devant l’enthousiasme de l’adolescente. Cela faisait plaisir de voir autant de dynamisme et d’innocence. Elle lui proposa d’aller chercher quelques clichés chez elle, tout près d’ici, ce qu’il accepta volontiers. Il avait encore un petit peu de temps devant lui, autant en profiter, il pouvait avoir déniché un nouveau talent qui lui faciliterai le travail : si les clichés étaient bons, ils pouvaient illustrer un bon nombre de futurs articles sur le 3 et lui éviter quelques déplacements.

Comme promis, il n’attendit pas longtemps : au bout de quelques minutes elle était revenue, les joues  rougies de sa course et les photos plein les mains.

▬   Voilà, j’espère que vous n’avez pas trop attendu…

▬   Ne t’inquiètes pas, je ne suis vraiment pas pressé.

Elle lui tendit les photos que le jeune journaliste observa attentivement chacune d’entre elle.

▬   C’est quelques photographies que j’ai prises dans le district. Il y a des paysages, mais il y a aussi quelques portraits.

L’attention de Clyde s’arrêta sur quelques clichés. Il n’avait pas dit un mot, et la curiosité et l’inquiétude de connaître son avis se fit ressentir lorsque Emilie prit la parole :

▬   Qu’est-ce que vous en pensez ?

Le jeune homme opta pour la franchise pour répondre à la photographe prometteuse :

▬   Il y a des choses très intéressantes. Regarde, sur cette photo, les photos sont vraiment très belles. Après, on sent la jeunesse, et un peu de maladresse… Ici par exemple –joignant le geste à la parole, il pointa du doigt une photo- le cadrage aurait mérité à être un peu plus précis.

Clyde avait relevé une ou deux choses à améliorer, mais la vérité était que la jeune fille avait un talent certain. Sa naïveté rendait ses clichés très vrais, très touchants.

▬   Pour te dire la vérité, je suis impressionné… Tu as tout appris par toi-même non ? Et tu es encore très jeune, tu as quoi, 15, 16 ans ? Tu as encore beaucoup à apprendre, tu peux peaufiner encore un peu la maîtrise de ton appareil, mais tu as un avantage précieux : c’est inné pour toi, profites en.

Clyde était sincère mais surtout curieux : il se demandait ce que pouvait donner les talents d’Emilie dans quelques années, lorsqu’elle sera plus mature et qu’elle aura plus d’expérience. Mais surtout, un meilleur appareil. Il sortit de sa poche une bourse, à moitié remplie, qu’il tendit à son interlocutrice.

▬ Tiens, je tiens à t’offrir ça. Utilise cet argent pour t’offrir un nouvel appareil photo, un de meilleure qualité. Apprends à l’utiliser, et lorsque je repasserai dans le 3 je passerai voir tes nouvelles photos.

Pour ne pas qu’elle se sente gênée, Clyde ajouta :

▬ Accepte le, vraiment, ce n’est pas grand-chose pour moi, je peux m’offrir ce que je veux. Tu n’auras pas besoin des conseils du vendeur, je pense que tu trouveras exactement ce que tu veux par toi-même.

Clyde jeta un coup d’œil à sa montre avant de reprendre la parole :

▬ Mon train ne va pas tarder, je ferais mieux d’y aller. Ravi de t’avoir rencontré Emilie, peut-être qu’on se reverra, si je reviens à l’occasion au trois. En attendant continues à prendre d’aussi belles photos !  

Un peu formellement, Clyde serra la main de la jeune fille et lui adressa un sourire avant de se diriger vers la gare, ses achats sous le bras. Sa journée avait été efficace : il avait trouvé ce pour quoi il avait été envoyé et même plus : une caméra qui pourrait l’aider à trouver des rebelles et un talent très prometteur.



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On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  Vide
MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  EmptyMar 5 Juil - 18:01




On reconnait facilement un


photographe quand […]

Clyde Holden & Emilie Dawning




« Il y a des choses très intéressantes. Regarde, sur cette photo, les photos sont vraiment très belles. Après, on sent la jeunesse, et un peu de maladresse… Ici par exemple le cadrage aurait mérité à être un peu plus précis. »

Emilie regarda avec attention. Oui, maintenant qu’il le disait, elle voyait elle aussi cette faute.

« Pour te dire la vérité, je suis impressionné… Tu as tout appris par toi-même non ? Et tu es encore très jeune, tu as quoi, 15, 16 ans ? Tu as encore beaucoup à apprendre, tu peux peaufiner encore un peu la maîtrise de ton appareil, mais tu as un avantage précieux : c’est inné pour toi, profites en. »

Emilie ne savait pas quoi répondre. Elle était vraiment touchée. On lui avait déjà fait des compliments sur ses photographies, mais jamais par un professionnel.

« Merci beaucoup, je vais travailler dur pour m’améliorer ! » Répondit-elle.

Elle se disait qu’elle avait de la chance d’être tombée sur lui. Mais elle se demandait pourquoi était-il si gentil avec elle ? Il n’y avait pas besoin de douter, elle devait profiter au maximum de ses conseils. Elle vit que Clyde chercha quelque chose dans sa poche.

« Tiens, je tiens à t’offrir ça. Utilise cet argent pour t’offrir un nouvel appareil photo, un de meilleure qualité. Apprends à l’utiliser, et lorsque je repasserai dans le 3 je passerai voir tes nouvelles photos. »

Elle n’en croyait pas ses yeux. Pardon ? De l’argent pour un appareil photo ?

« Non… Je ne peux pas accepter, c’est trop… »

Au fond d’elle, elle le voulait vraiment cet argent. Il y avait un appareil photo qui lui faisait de l’œil dans un magasin depuis plusieurs mois déjà. Mais il coûtait très cher. Cet argent lui permettrait de l’acheter. Mais elle ne pouvait pas. Ce n’était pas convenable d’accepter de l’argent d’un inconnu.

« Accepte le, vraiment, ce n’est pas grand-chose pour moi, je peux m’offrir ce que je veux. Tu n’auras pas besoin des conseils du vendeur, je pense que tu trouveras exactement ce que tu veux par toi-même. »

Il insistait. Elle ne pouvait plus refuser, ce serai malpoli. En recevant l’argent, son sourire augmenta.

« Je ne vous remercierai jamais assez… Je sais exactement quoi m’acheter avec cet argent ! Cela fait longtemps que je rêve d’acheter un des appareils photos de la boutique qui possède d’incroyables fonctionnalités. »

Clyde regarda sa montre puis déclara que son train allait bientôt partir et qu’il devait se dépêcher. Emilie baissa les épaules. Elle aurait voulu discuter encore plus longtemps avec lui.

« J’ai été ravie de vous rencontrer également. J’espère que la prochaine fois que je vous verrais au district trois, ce sera en tant que vendeuse et client ! » Dit-elle en riant.

En disant ça, elle se fixait comme objectif de se faire engager par Mike. Elle vit Clyde partir en direction de la gare. Elle était seule, mais elle souriait encore. Elle regarda la bourse dans sa main, et se dirigea vers le magasin en quête de son futur appareil photo.




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MessageSujet: Re: On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.    On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.  Empty

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On reconnaît facilement le photographe professionnel au milieu d'un troupeau de touristes : c'est celui qui cache son appareil.

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