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 Les gens n’aiment pas la vérité. Mais ça, la vérité s’en fou.

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Les gens n’aiment pas la vérité.  Mais ça, la vérité s’en fou. Vide
MessageSujet: Les gens n’aiment pas la vérité. Mais ça, la vérité s’en fou.   Les gens n’aiment pas la vérité.  Mais ça, la vérité s’en fou. EmptyDim 24 Jan - 17:49


Les gens n’aiment pas la vérité.  

Mais ça, la vérité s’en fou.
feat. Azilys


La dernière et première fois que je suis venue ici, il y a quelques semaines, j'ai fini par le regretter amèrement.  Par ses questions et son comportement inhabituel, Melvil m'avait fait espérer que, quelque part au fond de lui, se trouvait le grand frère souciant, attentionné et protecteur avec lequel j'ai grandi.  En foulant la première marche du perron, je revois cette fille qui avait hâtivement mis fin à mes plus fous espoirs qui s'autoconsumèrent alors que Melvil me mettait à la porte.  Bien sûr, à l'époque, je ne connaissais pas la vérité que j'ai aujourd'hui fini par accepter, malgré sa lente digestion. Après y avoir mûrement réfléchi, après avoir retourné et pesé chaque mot dans ma tête, ce que Simon m'a révélé s'est mis à faire de plus en plus de sens.  Je comprends pourquoi Melvil s’est entêté à venir chaque mois nous donner, à maman et moi, une partie de ses gains, et ce même si ses visites se faisaient courtes et souvent très animées.  Au final, il se trouve que cette personne que je connais si bien n'a jamais vraiment disparu.  Ce jour-là, j'ai simplement assisté à un moment de faiblesse, à une fissure dans la carapace qu'il se force à revêtir depuis des années.  Et cette fille sur son porche l’avait ramené à la réalité, à sa réalité, le faisant me repousser à nouveau.  Mais tout cela ne sont que des suppositions.  J’aimerais tant pouvoir entendre tout ça de sa bouche, finalement pouvoir être certaine de ce qui est réellement vrai dans ma vie.  J’ai besoin de savoir, d’avoir des bases solides pour pouvoir enfin me reconstruire et affronter ce monde en connaissance de cause et avec plus d’assurance.  Depuis la mort de Kaly que je tente de survivre sur des bases aussi frêles que les résidus sablonneux résultant du dynamitage dans les mines.  Et c’est l’une des raisons pour laquelle je me trouve au village des vainqueurs pour la seconde fois de ma vie, debout, face à la porte de la demeure de mon frère.

Je suis bien plus que nerveuse de m’y trouver, seule cette fois… surtout en sachant que ce que je m’apprête à faire va contre les dernières volontés de Melvil.  Malgré que tout se soit relativement bien déroulé à la Moisson, Melvil ayant refusé de retourner dans l’Arène, j’ai décidé de lire les documents qu’il m’a laissés « au cas où le pire devait se produire ».  Or, le pire ne s’est pas produit, mais ignorer toutes ces réponses à portée de ma main serait du gaspillage et reviendrait à laisser à nouveau mon destin glisser entre mes doigts malchanceux.  Bien que Simon ait toute ma confiance, une seconde version similaire des événements, surtout écrite par mon frère, me conforterait dans ma quête de vérité d’ici son retour.

Évidemment, il fallait que la maison soit habitée : ça aurait été bien trop facile avec une maison vide.  Avant de partir du marché illégal, l’autre jour, Simon m’a prévenue qu’une rebelle est actuellement cachée des autorités dans la maison des vainqueurs de mon frère, après qu’elle ait causé des remous au Capitole.  Il y a apparemment toute une histoire autour de cette femme que je n’ai pas trop comprise, mais ça m’est un peu égal.  Je vais juste aller chercher ce dont j’ai besoin puis filer en douce.  Ça me complique un peu la tâche, mais je n’ai qu’à me faire discrète et tout ira bien.  J’ai amené un vieux sac à longue ganse que je porte en bandoulière afin d’y planquer rapidement mes trouvailles pour ensuite filer en douce et les consulter plus tard.  Mon plan est déjà clair dans ma tête.  Et sa mise en action débute maintenant.

Arrivant devant la porte d’entrée, je n’attends pas plus longtemps avant de tenter la poignée en métal, froide sous mes doigts.  C’est un coup de chance!  C’est ouvert!  Un pas à la fois, j’avance sur le plancher de bois dur après avoir doucement refermé la porte derrière moi.  Je tends l’oreille alors que je progresse vers la cuisine sans rien entendre de louche.  J’aperçois déjà la planche soulevée par Melvil à ma dernière visite alors que mon cœur se déchaîne dans ma poitrine.  J’écoute une nouvelle fois, mais rien ne parvient à mes oreilles.  C’est bon, elle doit être sortie ou bien en train de dormir.  Je peux y aller.  D’un bon coup de pied, j’assomme la planche qui se soulève légèrement.  Rapidement, je m’agenouille sur le plancher puis la fait pivoter.  Déjà, mon cœur manque un battement lorsque j’aperçois, sur le dessus de la pile de papiers, une enveloppe qui porte mon prénom, rapidement écris d’une encre noire.  C’est alors qu’un soudain craquement se fait entendre dans la pièce d’à côté, le salon, je crois.  Fouettée par l’adrénaline, j’empoigne rapidement l’enveloppe à mon nom que je glisse dans mon sac, puis referme la trappe à trésor.  Je me lève et me retourne pour filer droit vers la sortie, mais une douleur lancinante et un puissant impact m’atteignent à la tempe droite, me projetant à plat ventre sur le plancher.  Le bourdonnement métallique résonnant dans ma tête jumelé à la force de l’impact m’assourdissent solidement quelques secondes qui me parurent durer une éternité avant que je ne trouve la force de me soulever sur mes coudes pour me retourner sur le dos, maintenant une paume sur ma tempe meurtrie.

- Attends…  C’est moi!, marmonnais-je encore assommée. Faye…!

Avec un peu de chance, elle sait qui je suis.  Avec un peu de chance, si ce que je sais de Melvil est bien vrai, il lui a parlé de moi et elle sait à quel point je suis précieuse à ses yeux.  Avec un peu de chance, oui…


Codage par Jibunnie surNEVER-UTOPIA

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Les gens n’aiment pas la vérité.  Mais ça, la vérité s’en fou. Vide
MessageSujet: Re: Les gens n’aiment pas la vérité. Mais ça, la vérité s’en fou.   Les gens n’aiment pas la vérité.  Mais ça, la vérité s’en fou. EmptyVen 4 Mar - 8:54

Un bruit à la porte. Ce n'était pourtant pas l'heure des visites. Visites qu'elle attendait avec impatience au début et qui l'avait beaucoup déçue. Il n'y avait rien d'amusant dans ces visites, ni d'intéressant pour elle, ils lui faisaient même un peur. En tout cas ils ne parlaient pas, ils la regardaient avec mépris et ne passaient que parce qu'ils le devaient. Ils lui amenaient à manger, c'était bien la seule chose positive.

Mais là, ce n'était pas l'heure d'une de ces visites de surveillance. Azilys n'eut pas beaucoup de temps pour réfléchir à ce qu'elle devait faire et se décider. Un intrus arrivait et il ne pouvait être que malintentionné. Elle attrapa une poêle et se cacha derrière un mur, avisant très vite qu'elle n'aurait aucun visuel de l'intrus avant d'agir. Là elle attendit patiemment, des secondes qui lui parurent des heures. Et dés que la personne fut à sa portée, bim, elle lui flanqua un énorme coup dans la tête. De toutes ses forces.

- Oh... non...

L'intrus en question était sa belle-sœur. Ça alors. Elle était à la fois émerveillée de la rencontrer et complètement dépitée de la situation. Quelle abrutie. Elle était verte.

- Pardon... pardon... pardon... Oh vraiment je suis désolée. Si j'avais su... Je... Je vais te chercher des glaçons, ne bouge pas. Ou assis-toi d'abord tiens, je ne voudrais pas que tu tombes dans les vapes.

Azilys courut dans la cuisine, sortit les glaçons, les vida dans un torchon, en perdit trois quatre au sol en passant et revint avec la précieuse recette contre la douleur. Elle la tendit à sa belle soeur, préférant la laisser gérer ça histoire de ne pas lui refaire du mal. Elle s'assit en face d'elle et la regardé, un grand sourire ahurit sur le visage. Elle la détaillait, cherchant les points de ressemblances avec son frère - qui lui manquait terriblement - et dont elle n'en trouva que peu, à son grand malheur. Ils se ressemblaient, mais pas énormément. En tout cas sa belle-soeur était incroyablement magnifique. Elle lui tendit la main pour lui serrer.

- Bonjour, je suis Azilys, je ne sais pas si tu sais qui je suis... (Azliys tira la tronche une demi seconde, elle espérait quand même que Melvil ait parlé de sa femme à sa sœur) Ce n'est pas vraiment le meilleur moment mais... Je suis tellement ravie de te rencontrer. Melvil m'a si souvent parlée de toi. Il a omis de me dire à quel point tu es belle jeune femme ! Car je t'imaginais bien plus jeune...

Ou était belle maintenant qu'elle avait pris un coup de poêle ? Malgré tout Azilys ne semblait plus vouloir se dépareiller de son grand sourire d'imbécile heureuse. Il fallait dire que voir sa sœur, c'était un peu comme avoir une part de Melvil de nouveau avec elle. Et puis ça ne faisait que confirmer la merveilleuse vérité : Elle n'avait pas été sélectionnée pour les jeux et Melvil avait refusé d'y retourner. Fort heureusement. Et comme quoi Azilys la capitolienne savait à quel point tout ce qu'on voyait à la télé était faux et truqué.

- Tu n'imagines pas à quel point il me manque... Même si je suis sincèrement désolée pour ses tributs et leurs familles et amis. J'espère que ce n'était pas des proches à toi. Enfin... Parlons d'autre chose peut-être... Ca va aller ta tête ?

Azilys grimaça.

- Je suis vraiment vraiment vraiment désolée.
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Les gens n’aiment pas la vérité.  Mais ça, la vérité s’en fou. Vide
MessageSujet: Re: Les gens n’aiment pas la vérité. Mais ça, la vérité s’en fou.   Les gens n’aiment pas la vérité.  Mais ça, la vérité s’en fou. EmptyDim 26 Juin - 19:24


Les gens n’aiment pas la vérité.

Mais ça, la vérité s’en fou.
feat. Azilys


La tête me tournait plus que jamais elle ne l’avait fait. Que vient-il de se passer exactement? Pourquoi suis-je étendue sur le plancher, tout à coup? Et c’est quoi qui me défonce la tête comme ça? La douleur est tellement intense pendant quelques instants que je mets un peu de temps à reprendre mes esprits.

- Oh non…

Tranquillement, les murs cessent de tourner et les choses se replacent graduellement autour de moi. Lorsque l’image devient claire, je suis en mesure de voir les traits de celle qui se penche au-dessus de moi avec une mine déconfite. Ah oui, c’est vraiment elle dont Simon m’a rapidement parlé? Wow, elle est vraiment belle! Heureusement, elle ne ressemble en rien à celle à l’air bête pour qui Melvil m’avait troquée l’autre jour. De ses grands yeux inquiets, l’étrangère me fixait, un air coupable au visage. Ok, elle m’avait frappée assez solidement, mais avais-je l’air si amochée? En tout cas, j’allais avoir au moins une bonne petite bosse mauve, ça c’était certain.

- Pardon... pardon... pardon... Oh vraiment je suis désolée. Si j'avais su... Je... Je vais te chercher des glaçons, ne bouge pas. Ou assis-toi d'abord tiens, je ne voudrais pas que tu tombes dans les vapes.

Une seconde et demie plus tard, la femme avait disparue. J’en profitais pour suivre son conseil et m’asseoir tranquillement, me traînant jusqu’au mur le plus proche pour m’y adosser. Moi qui voulais simplement venir, prendre subtilement ce pour quoi je suis venue et filer en douce, c’était complètement loupé. En moins de quinze seconde, le brouhaha de la cuisine fut terminé et la grande brune réapparaît à côté de moi en me tendant une serviette pleine de glaçons. Embêtée par son air beaucoup trop heureux dans les circonstances, je ne lui esquissais qu’un mince sourire avant d’appliquer le paquet à l’endroit atteint, derrière ma tête. Grimaçant momentanément de douleur, je saisis qu’elle avait une sacrée force malgré sa taille. Elle ne m’avait pas manquée. Quand mon regard se reposa sur elle, elle me regardait encore de la même façon, tout aussi avidement, comme un enfant qui visite une mine pour la première fois. La même béatitude, ces mêmes yeux complètement obnubilés par le paysage. Pourtant, c’était juste moi. Mais c’était clair qu’elle me connaissait beaucoup plus que ce que je pensais.

- Bonjour, je suis Azilys, je ne sais pas si tu sais qui je suis...

Azilys… Oui, c’est bien ce prénom inhabituel dont Simon m’avait parlé l’autre jour, au marché. À part que Melvil avait comme mission de la cacher, je ne savais pas grand chose sur elle. Du coup, je préférais rester prudente. Pour une fois, ma dernière intention était d’attirer des soucis à mon frère.

- Oui, j’ai entendu parlé de toi…, fis-je d’un ton neutre sans élaborer davantage, un léger sourire nerveux au visage.

Révéler ma source d’information était inutile et pourrait attirer de gros ennuis au mentor du D3 si Azilys venait à en parler à Melvil. Et puis, Azilys semblait tellement fascinée par ma personne que je doute qu’elle s’attarde à ce détail pour l’instant. Comme de fait, elle poursuivit sans plus attendre, me tendant une main que je serrais sans hésitation.

- Ce n'est pas vraiment le meilleur moment mais... Je suis tellement ravie de te rencontrer, s’exclama-t-elle alors, les yeux encore plus pétillants qu’avant. Melvil m'a si souvent parlée de toi. Il a omis de me dire à quel point tu es une belle jeune femme ! Car je t'imaginais bien plus jeune...

Je n’étais pas surprise qu’elle me croie plus jeune. Melvil ne me connaissant plus depuis plusieurs années, ce n’est pas surprenant qu’il ait dépeint un portrait de ce que j’étais à l’époque. Pourtant j’avais tellement changé!! Surtout ces dernières semaines!! J’évitais de penser à tout ce qui m’était arrivée, tout le pétrin dans lequel je m’étais fourrée, au risque de tomber dans la déprime. Ce qui me surprend dans le discours d’Azilys c’est la fréquence dont Melvil aurait parlé de moi. Ah oui? Vraiment? Il lui a parlé si souvent de moi?

- Tu n'imagines pas à quel point il me manque... Même si je suis sincèrement désolée pour ses tributs et leurs familles et amis. J'espère que ce n'était pas des proches à toi.

- Non, je ne les connaissais pas…, fis-je en baissant tout de même les yeux.

Depuis que Melvil avait refusé d’aller aux jeux lors de la Moisson, j’avais cessé de suivre l’évolution des jeux de cette année. Observer un tout jeune tribut et sa compagne de fortune, dont je n’avais entendu parlé uniquement en bien, se faire massacrer par des Carrières assoiffés de sang et de gloire ne m’intéressait pas du tout. Le seul intérêt que j’aurais pu y trouver aurait été de revoir Simon, l’espace d’un instant. Mais les mentors qui ont choisi de rester au Capitole n’occupent que quelques secondes de caméra à la fois. Bien sûr, j’ai fini par savoir, sans grande surprise qu’ils n’avaient pas faits long feu et que certains trouvaient dommage que le douze reste avec un mentor bon à rien, mais ça ne m’avait fait ni chaud ni froid. J’imagine qu’on s’habitue à se sentir impuissant.

- Enfin... Parlons d'autre chose peut-être... Ca va aller ta tête? Elle grimace. Je suis vraiment vraiment vraiment désolée.

- Ça va aller, ne t’en fais pas avec ça, dis-je en me forçant à sourire. J’ai survécu à bien pire.

Oui, j’avais survécu à bien pire. Enfin, j’étais encore vivante pour l’instant. La moindre petite erreur de ma part et j’avais le chef des Pacificateurs à mes trousses. À côté de ça, un coup de poêle, même bien senti, n’était rien du tout. Mais je ne devais pas y penser pour l’instant. Je suis là, en santé et possédant tous mes moyens, à me plaindre mentalement de tous mes problèmes alors que je ne sais même pas si ma mère survivra jusqu’à demain. Je suis vraiment une cruche. Pour l’instant, l’important c’était de me tirer d’ici, maintenant que j’avais, dans ma sacoche, ce que j’étais venue chercher. Le reste du contenu de la cachette sous la planche pouvait bien attendre une autre fois. J’avais beaucoup d’espoirs fondés sur cette lettre. Et dieu sait que l’espoir est la seule chose plus forte que la peur. Enfin, si un dieu, il existe. Par contre, je ne pouvais pas partir sans être certaine d’être stable sur mes pieds, ni sans savoir quelque chose…

- Qu’est-ce qu’il a dit?, demandais-je subitement, sans passer par quatre chemins, mon regard sérieux plongé dans le sien. Qu’est-ce qu’il a raconté sur moi?

Je m’attendais vraiment à une réponse de la part d’Azilys. Je voulais tellement une réponse que je n’avais pas réalisée à quel point j’étais rude et sans façon avec celle qui, malgré le coup porté à mon égard, se montrait si gentille et si attentionnée envers moi. Bravo, Faye! Si tu veux lui faire peur, continue comme ça, ma grande!

- Non, excuse-moi. Je…, poursuivis-je de façon plus douce, en laissant dériver mon regard sur le plancher. C’est juste que… Non, laisse tomber. Ça ne me regarde pas. Je ferais peut-être mieux de partir…

Sur ces mots, je déposais le torchon plein de glace mouillée au sol pour tenter de me lever, glissant contre le mur. Mais après deux ou trois pas vers l’avant, les étourdissements me reprennent soudainement et je m’agrippe au premier meuble sur mon chemin.

- Wow, je pense que je vais m’asseoir encore un peu…

Me rendant tranquillement jusqu’au salon, je m’installais doucement dans un fauteuil. Je dois prendre quelques secondes avant que tout se stabilise à nouveau autour de moi. Je reconnais la pièce dans laquelle Melvil m’avait invité à boire quelque chose en sa compagnie. L’ensemble était pareil, mais en mieux rangé, en plus propre, plus soigné.

- Est-ce que ça fait longtemps que tu es ici?, demandais-je alors à Azilys, une pointe de curiosité teintant le timbre de ma voix.


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